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i y C DE HENRl lV. 27 du Mans m’ayant faict recit de l’amitié qu’il vous porte, dont il a IDGSITIC I‘€I'1dU l)€&UCOUP de l]CSlTlOlIlgI’l3gBS à SOD PElI't€I’I`1€IUL, jt} VOUS ay €I`1COI’C voulu f3.lI‘€ la presente P3.? lUy, POUF VOUS dlI`€ CIUB VOS 1'IlCI’llÈ€S VOUS OIU. ElC(IUlS t&I1là de I’CCOl'I’lI’l'l€î.1'1C-l&`ÈlOI’l BDVCTS IDC)', CIUG VOUS pouvés estre asseuré que je seray bien aise qu’il se presente occasion . de les recognoistre par quelque gratification ; à quoy je seray tous- jOUl’S'lLI`€S disposé, COIT1II1Cj€ IDG PPOIIICÈS ZIUSSV (IUC VOUS COI'1lCl1'1U8ITéS la bonne volonté et affection que vous avés tesmoigné par cy—devant au repos et restablissement de ce Royaume. Et sur ce, je prie Dieu, Mons' Seraün, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. ` HENRY. _ - 1593. —= 3 SEPTEMBM. _ Imprimé. — Olîconomics royales, t. I, p. IOS, édit. originale. — Vie militaire et privée de Henri IV. ` Paris, 1803, in-8°, p. 1g7. i . [A M. DE BOSNY.] _ 1 MOI] amy, Je DB VOUS ElVOlS dOUI1é COl'lgé (IUC POUI`.dlX jOUI’S et neantmoins il y en a desja quinze que vous estes party ; ce n’est pas vostre coustume de manquer à ce que vous promettés, ny d’estre ÉITCSSGUXQ £lI’t3.l'1lZ, I’BVCI1éS VOUS CIl IDG. l§I’OUV€I" C’€SlL chose I1€C( }SS&lI‘8 7 pour mon service, tant pour veoir des lettres que madame de Simiersü ' Cette lettre était dela main du Roi. donna le premier, sur la fin de 1593, _ ’ Louise de l’Hospital, fille de Francois Yexemple des ralliements motivés par la de l’Hospital et d’Anne de la Chastre, était conversion du Roi, en déterminant la sou- sœur du marquis de Vitry. Elle fut au mission de Meaux, ècrivitàsa sœur ce bil- nombre des fillesdhonneur de Catherine let, où il fait allusion _à cet événement et de Médicis, et elle épousa Jean de Symier, à la réduction d’©rléans, remis par le ma- maître de la garde-robe du duc d’Alencon. réchal de la Chastre pendant le carnaval : Elle habitait Rouen, où son influence sur « Ma chere sœur, vous scavés comme ` Villars contribua puissamment à la réduc- j’ay donné le bon an au Roy ; nostre oncle tion de cette ville. Ce fut entre elle etRosny de la Chastre luy a faict des beugnets : et ` que s'établîrent les négociations qui ame- partant faictes en sorte queî ceux où vous nèrent ce résultat au printemps de l’année estes luy facent la my caresme‘ a cheval. ' Suivante. Alors le marquis de Vitry, qui Surtoutgardés-vous bien de tirer les choses lt.