Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome4.djvu/428

Cette page n’a pas encore été corrigée

- ‘ ‘DE HENRI `TV. ZLO9 ` _' 51595. — 21 SEPTEMBRE. —II“‘°. l Orig. — Archives de M. le duc de la tForce. _' . ' A ~ . Cop. -- B. B. Fonds Leydet, liasse 2. i Imprimé. + Mémoires de la Force, publiés par le marquistnn LA Gmmoia, t. I", p. 266. _ — [A M. DE LA FORCE.] Mons” _de la Force, Je suis tres ayse que vous ayés fait arrester la I Penille, car yen ay tousjours eu tres mauvaise opinion, et espere que l’on descouvrira par son moyen, et des aultres qui ont esté pris avec luy, une partie des desseings de Yennemy contre ma personne et celle du s' Antonio Perez. Partant, tenés lamain que Ptapinl l’interroge'et V Nicolas Bapin, grand prévôt de la . le premier président lut 'si frappé du mé- . cxonnétablie, nommé ici comme ollicier rite de Ptapin, qu'il voulut l’emmoner à dune 'usticc clairvo ante, est le même à Paris et il le résenta au Roi. Hemi III J Y . .p qui ses ouvrages latins et francais, princi- lni config la grande Prévôté dg la Cnnné- llalëmëîïï €¤ V€1`$ ont <1C<1ul$ uuu *1556% tablie, charge qu’il exerca sous ce règne . grandecélébrité ; car il alliait _la culture, ct durant la prnrnièm partie dg celui dg assiduedes lettres et un goût très-vif pour Henri IV, avec une vigilance ct nnn ri- la Puesle aux Plus auslèresi Ou pourrait gueur nécessaires en ces temps d’anarchie. [>1‘€Sq¤€ dire aux plus împîloyüblëô l`0¤<> Il servit aussi très—utilement de sa plume tions de le meSlStl’etul’e telles que Ces la cause royale ; car on le cite comme upplleülluuâ à la question. Quiuu g!‘âu€l ~ l’un des principaux autours de la Satire prévôt devait si souvent alors ordonner et Méninpéga Pour laquelle il écrivit la lign ' ` diriger lui-même. Il a rappelé son double mngue du recteur Boze. Les vers malins, titre de juge sévère et de poète dans l`épî habilement entremêlés aux divers discours lalllle (lulu se CoulP0$u> Sum doute MCC de cette célèbre satire, et qui furent alors plus de \'<'¢î`llê quü <l€ m0€l€$u€¤ dans toutes les bouches, sont de Passerat Tandem nsrinmnaçquasscstattt, qui et de Bein"? _Segt’atS les attttbtte mem'? Nunquam quievit, ut quies esset bonis ÉOLIS 8 CC doI’Ill€I‘. HB lJOI’l’ltt PRS £il.lX VCPS l“‘P““° “““° 8"“”°“*“' °* li"' °‘l“"° francais ordinaires l’e1nploi de son talent Musa : ad sepulcrum'GalIi :e et Latiœ gement. . . poétique. Encourage par plusieurs doctes On lisait encore cette épitaphe, au siècle amis, qui ne prévoyaient pas ce 4 qu'al- - dernier, sur le tombeau de Ha in, àFon lait bientôt devenir la lan ue fran aise, . P, S té tenay leîComte. - il renouvela les tentatives de Bail`, en cher- Il était né dans cette ville, où il remplit 1 chant à appliquer à notre idiome les règles d’abord la char e de vice-sénécha] de Poi— de la rosodie anti ue. Peut-être u'une . S P tl tl tou. Lorsque Henri QI envoya Achille de prononciation plus fortement accentuée Harlay tenir les grands jours, à Poitiers, qu’aujourd’hui permettait moins d’aperj tzrrnns nn nenni iv. —txv. . t 52 4