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[ DE HENRI IV. 389 i pays de Perigort, que je ne veus pas estre supportez én leur deSobeis— sance, non plus que violemment traictez, pou1 le peril qu’il y auroit en l’un et en lautre. Conduisés-vousey selon son advisj et surtout que A nul amas de guerre ne se face, qui puisse donner soubsçon aux villes, ny mesmes au plat pays. Et â. Dieu,. A Saint-Vy`, pres Besançon-,. ce lljc d’aoust. . l‘ 59 5.— IO A0û`T. —l'°Z l / ` Minute ; — B. B. Fonds Dupuy, Ms. Z107, fol. 17 recto : y i A ' Cop. — B. P1. Suppl, fn. Ms. 1009-3. y [AU COMTE DE SOISSONS.] i ‘Mon Cousin, J'ay receu par ce gentilhomme, presentporteur, celle que vous m’avés escripte. Si vous eussiés tant desiré, comme vous dictes, de nous esclaircir de ce que j’avoi_s à vous dire, vous me feus- siés venu trouver à Dijon, comme vous me Yaviés promis. Je serày en bref à Lyon, Dieu aydant, où si vous .voullés’veni1, je vous en esclair— ciray aussy tost ; cesaH’aires cestanstelles qu'elles ne se doivent traicter par commission, mesmement de subject avec son roy. Venés donc, ' mon Cousin-, et vous me trouverés tres disposé à vous tesmoigner que nul ne peut plus faire pour vous que moy qui, sur ce, prie Dieu vous avoir, mon Cousin, en saisaincte garde,. Ce xç aoust 15.9.5, à Montigny- _ le-Chasteau. ‘ ‘ » , . HENRY. 1 CCNE lCttI’C est URB réponse à UDC y UBC copie DOUS 3 été COIESCPVÉC, B-. i longue lettre du. comte de Soissons, dont fonds Dupuy, ms. l1o7,, f`0l. 63.