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‘ DE HENB?I «IV. I 359 de choisir la ;place-monstrel pourfassemhlée des dicts lansquenetz, ès, i terres de voetre Olbeissanceqnotis vous en avons toutesfciisjbien voulu escrire cestehlettre et vousprier, comme nous faisons affectueuse-" ment, nonlseulement de/le trouveîrybon, mais aussy de faire assister d'estappes. les dicts lansquenjetz,° quand ils passeront en vos quartiers ; 'et ce seragune faveur~dont nous aurons bonne. souvenance, pour nous en revanchèr en quelqtfautre occasion, si elle se presente ; ceeque- i nous ferons (lgie_n*voli1hti ers, ainsy que vous itognoistres parvelfectz priant Dieuî"[lrestchers et bons a1nys, _qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Troyes., le ïlernier jour de fnay 15§`5. . ` _ [ - " HENRYÃ 45 ‘ M c' 1595. —Mi(i?._—(lr°. i x Z i Cop. -¥ B. Pi. Fonds Béthune, Ms. 8Él5Èi, `I`0lf 89 recto. `V i - - . [AIl)PAPE :], ' Tres Sainet Pere., Entre toutesles prosperite ; qu?îl>a Bleu à Dieu nous despartir, au milieu de tant de travaulx et 'perils que ; nous avons : suphortez et encourus, celle que nous avons receue de sa bonté divine par la cognoissance qu’il' nous a` donnée de la verité dg la religion catholique, apostolique et}`romaine, nous est plus chere que toutes les aultres, tant pour le salut de nostre âme, que nous attîendonsde son inlinye miseriàcorde, que pour le contentement de nos sub_jects`“: i` qui. sont deuxghosesqui nous seront tousjoursle plus recommandées ; - et si nous eussions esté si` heureux que nostre tres cher cousin/le duc _ de Nevers eusiuoavé grace pour nous auprés de Vostre Saincteté, quand nous llavons envoyé <vers Elleapour satisfaire aux commande- mens et â fordonnance des prelats de nostre Royaulme qui nous avoientreceu en l’Eglise, nostre souhait eust-este accomply. Mais nos peîshez, joincts à la puissancede gnos ennemys, nous ayans privez et non<desesperez dun tel bien, confortez de la sincerité et faveur de i C’est-à-dire la place oùidevait se faire lac montre, ou revue et solde des troupes. `