3lS i LET'l’llES` MISSIVES ` a de l’amitié parfaicte que je luy porte ; de laquelle je vous prie con- tinuer à luy respondre en mon nom, et ne doubterpoinct aussy que ie ne recognoisse en vostre endroict vostre aiiection à mon service, de laquelle je vous prie me continuer Yassistance au besoing que _j’en ay, suivant la lettre, du dict s' de Villeroy : sur laquelle me remettant., je prie Dieu, Mons' de Gondy, vous avoir en sa saincte garde. Escript à Paris, ce xv_]° jour de mars 1595,.
ne nnurvirta. D A 1595. — 17 MARS. 'Cop. - Arch. de la ville de Poitiers, Registre des délibérations. Envoi de M. L. Redct, archiviste du département de la Haute Vienne. A MONS“ BOATIN. l i mins nx-: ivosrau virrn on voxcrinns. ' ‘ "Mons' le maire, J `ay receu vos lettres du XIXe de febvrier et v1i_]° mars, ar vostre oncle le s' de la Tousche, et entendu de lu sa creanc—e P y 7 dont j’ay eu contentement, ayant par icelle recogneu vostre fidelité, . dont je vous asseure que je n’ay point doubté, quoy que j’aye apprins par des lettres mterceptées, dont vous aves oy parler. Et partant jay ' eu bien agreable que vous ayés prins la charge d'une des compaignies de la dicte ville, asseuré que partout où vous serés employé, je seray tzousjours servy de vous fidelement ; ce que je vous promets aussy de- recognoistre envers vous] ......... priant Dieu, Mons' le maire, qu’il vous ayt en sa saincte garde. Escript de Paris, le XVl.]° jour de mars 1595. HENRY. _ I mi NEUFVILLE. ' Il y a là, dans la transcription du registre, une lacune qui rend ies derniers mots a inintelligibles.
