DE HENRI IV. 297 la France et obstinez en leurs conspirations qu’ils se sont monstrez par toutes leurs actions, tant publiques que privées ’*. ....
1595. — 12 JANVIER.
Orig. Archives de la ville de Bayonne. Copie transmise par M. J. Balasque, archiviste.
A NOS CHERS ET BIEN AMEZ LES MAIRE ET JUBATS DE NOSTRE VILLE DE BAYONNE.
Chers et bien amez, Vous aves bien deu juger que le malcontente— i . ment que nous avions monstre d’avoir, de ce que nous avions entendu que vous n’esties pas si soigneux de faire travailler a -vos fortifications _ qu’il estoit necessaire pour vostre conservation et de nostre ville de Bayonne, n’a este qu°à bonne lin, et ne l’aves deu interprester que un tesmoignage du soing que nous avons de vous, et de llaffection que nous vous portons ; ayant pris à grand plaisir de voir par vostre lettre, que vous aves de quoy justifier le contraire de fapprehension qui nous en avo1t este donnee ; qui n’a jamais toutesfo1s passe Sl avant, que ce soit pouriavoir dlaultre opinion de vous que celle que vous ^ aevés desirer que nous en ayons, et ne deves craindre que aultre que - vous-mesmes nous en puisse desmouvoir : ce que nous sommes bien ‘ 3SS€11I`€Z ql1l n’adviendra poinct, comme le devés estre que rien de 'ce qui peut despendre de nostre affection et faveur ne vous deffaudra jamais. Donne à Paris, le x1_]°_janvier 1595.
` ronenr. 1595.-- 15 mvvirazii.
Cop. — Archives municipales de Saint—Quentîn. Envoi de M. Chauvinet, membre de la commission i 'des antiquités du departement de l’Aisne. A
A MON COUSIN LE SR DE BALAGNY,
'i mnnscmr. ne muvcn. _
Mon Cousin, Quelques marchands de ma ville de S'—Quentin me ` ` Le reste de la lettre, écrit en chiffres, n’a pu être déchihré. 1.n r rm-ss on ncnm xv.-nv. 38