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I DE HENRI IV. [ . 275 à Paris dans les festes. J e pars pour.m’en aller à Peronne, a Amiens ` et de là à Abbeville/Bon jour, mon Cousin. Ce x”“° decembre, à S‘—Quentin. _ HENRY. u 159lL. —~ 1 1 DÉCEMBRE.) [ [ Orig.— B. R. Fonds Béthune, Ms. 9115, fol. 62. Cop. —— B. R. Suppl. fr. Ms. 1009-3. A MON COUSIN LE DUC DE NEVERS, _ ` mm ns ramer. Mon Cousin, Je vous prie de mander aux cappitaines des compa- gnies de gens de cheval qui sonten garnison en vos terres, qu’i1s continuent à assister mon cousin le duc de Bouillon, quand il aura besoing d’eulx, car il n1°a dict en avoir tiré plus d’assistance pour mon service que de toutes les aultres ; dont je vous sçay le premier gré, lequel Je vous prie croire que Je noublieiay Jamais, et PEIICB que jespere vous voir bxentost, Je ne vous féray ceste—cy plus longue : priant Dieu, mon Cousin, vous avoir en sa saincte garde. A Peronne, ce x_]° jour de decembre 15g[1. ‘ '

HENRY.

l I on Nsurvxtrn. _ [ 1590. —— vnns LE ia DÉCEMBRE.] ‘ ' Minute. — B. R. Fonds Saint Germain Harley, Ms. 1187, fol. 23Zi recto. [A M. DE BELLIEVREI _ . Mons" de Bellievre, _Vos lettres du xvu ° du mois de novembre ont J passé par les mains de mes ennemys à la Fere, qui les m’ont renvoyées ouvertes, plus, comme vous pouvés croire, pour me faire deplaisir que pour me faire service, car ils ont veu que je ne pouvois apprendre par • icelles que une extresme necessitéque mes allaires et mes provinces de delà ont.de ma presence, ou ces gens de deçà voudroient que je I 35.