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.262 LÃETTBES Ml SSÉlNÉS, prie la supplier tres instamment de ma pa1§t, `et, pour ce l~ÉllI‘€,<'î)1`€Ddl`€ la peine, de retourner vers Elle, si dladva1iturê —ce porteur vous en trouvoit party, earg c’est chose qui importe tant à larreligion, au gee neral de mon Royaume et à mon partieulier bien et contentement', qu’il plaise à;Sa Sainctqté prendre .cesteÈ'conIiance-la de moy, que je — vous asseure quevous ne pouves l’aire’cl1ose qui mloblige plus d’avoir ` soing de vous et des vostres, que de vous y employer avec allection,~ et - me procurer ce bonheur, en attendant que _j’envoie par delà Tevesque d’Ev1‘euX, qui a esté retardé pour les raisons que _]°ay escript au s' d’Os- sat vous eommunicquer. Mais il nlavoitencore reoeu mes lettres quand ., vous <m’avés escript la vostre. > s J’ay aussy envoyé à Thoulouse le s' de Vic’, conseiller en mon` ê'on- » seil d°Èstàt2, pour faire entendre mon intention à vostre frere, come poser et remettre les allaires de par delà en l’estat qu’elles doibvent estre squbs mon obeissanceftant. pour le repos du pays< que\p'our~ le ’bien et, l’honneur cha vostre ~dict frere, qui me sera tousjours trà ` ifecomniandé, comme vous cognoistrés par eH’ect.‘~Partant je desire que jvous vous reposiés sur moy de ce soingl, auquel vous m’all’ection= nerés 'enéores de plus en plus si, retournant et me servant aupres de Sa Sainoteté, vous me moyennes la grace que je recherche d’Elle, et vous accommodés et conformés, pour ce qui vous concerne et vostre, dict Frere, à mes commandemens et au bien du pays et de mes . , aflaires, comme je vous prie- faire, et de reohef ne vous eslongner de Sa Saincteté, aux occasions auxquelles vostre presence mly peut estre _ l Méry de Vic, seigneur d’Ermenon- [ mort de M. du~Vair, Louis Xlll le nomma _ ville, des Bergeries, de Saint Port et de garde des sceaux, par lettres du nl ; dé- Saint-Assise, était le frère aîné du brave cembre 1621. Il mourut l’annee—suivante`. _ Dominique de Vic, gouverneur de Saint- Il était fils de Baimond de Vic et de Com- ï Denis. Il avait été, en 1581, maître des tesse de Sarred, sa seconde femme. ` requêtes de lliotèl du Boi, et devintprési (Cest par- erreur que ci—dessus, t. III, kdent awparlement de Toulouse en 1597, p. 325f, nous avons désigné cette dame époque à la uelle le P. Anselme dit u’il commegla comtesse de Sarred. Le, mot devmt auss1 conseiller d'etat ; mais cette _, Comtessc n'est point ici un titre, mais un » ~ 1- i . - x. J `( /‘ l . lettre prouve qu il létamdes 15gâ. A lat? nom’de‘ baptême.) " '