258 LETTB ES MISSIVES -. l59Ã1.— 27 NOVE1l£lBP«E, l ;— III"'". lr ;/_,-;, (Cop. -- ‘BiîP(> Fonds Béthune, Ms. 9115, fol ; 57 recto. Suppl. Ms. 1009-:4. - h’l_/\;"<;- iiï ’/.l"\, _ 4 (px g `\’r" > i"' 'I li'!/• \ J, A .MON8“ DE THOU ‘, ., L ;j, 2. ciioxsnitiiizn EN Monvcousimî n•Esrà r 1 : r rmtsimaur EN MA counr ou PARIIBMENT. _ '(.` i ~ I ), ‘ 0 _] Mons' le president, Pou1,"ce'_ que je ppars ldemain, pour ymon voyage de Picardie et que le l’aict_;de Ãla `tutelle de inamiepce de BOUI’bO, l'l IÃOUCTIG (TZISSBZ PI‘éS POIJILQU HVOIIT'JI€(_§OIHg GIL y II'l€l, ll’I`€ _,.;5 î ‘»_, _;*2 ‘~ ‘ ¢. " _ «'>C'est le célèbre auteur.de l’Historia prince, Revenu en France auprès de ` sui temporis, ouvrage si précieux pour tous I Ienri IV, il lut employé dans beaucoup ceux qui, comme nous), ont àétudier cette d'importantes allaires, notamment à la époque ; et le prix</dèfce service s’aug- conférence de Surêne en 1593, aux né-( mente encore, s’i1 est vrai que la liberté gociations avec le duc de Mercosur et à la de sesjugcments l'ait, empêché, par les en- rédaction de l'édit de Nantes en -l598, à nemis qu’elle luiattira, djarriver, comme" la conférence entre du Plessis-Mornay et son p`è`re,..à la Npremiere dignité des cours 'I du _Perron 'en 1600, etc. A la mort de Souveraines du royauiimexlaeques-AugusteA Jacques Amyot, en lôgâ, il devinfmaître de T hou, baron de Meslai`;d’unè ancienne de la librairie du 'Pioi. Il fut chargé avec et trèsillustre Ilainille de robe, était le de', cardinal du Perron dp la londatiop/du
- V troisième fils dé’Cliristophe de Thon, pre- _`Collége de France et de la réforme dé`1’îg—
mier président au parlement de Paris’,"et niversité.~`Marie' de Médicis le nomma un de Jacqueline de Tulleu. Il était né à Paris des directeurs générauxcdes finances. en>155S,"quelques jours- avant Henri IV, gré tant d’importantes occupations, il a dont il lut un des serviteurs,-les plus "fi- laissé, outre sa vie et les.ce’nt trentebuit 4 dèles dans les nombreuses `allaires és ce livres de son histoire universelle, de nom- prince l’employa.Elles sont racontées avec breuses poésies en latin et enjfrancais. ll détails par lui méme dans sa vie,~écrite en mourut à Paris le 16 mai 161 7. latin ce>mme.sa : grande histoire, et qu’oni gs ; ’ Il serait dillicile de décider laquelle y a jointe dans plusieurs éditions soit du des deux filles du prince 'de Condé il faut texte soit dei Ntiiaduction. Nous nous reconnaître ici, ou Catherine de Bourbon, bornerons à dire quil avait 'été, sons lille unique de Marie de Clèves, sa pre- Henri III, maître des requêtes en 158ll,/` ~ mière femme, ou Eléonore de Bourbon, i puis président à mortier au parlement en p qu'il eut de la seconde, Catherine de la 1586. Il rejoignit le Iloi à Chartres après Trémouille, si le passage suivant de la . la journée des barricades, en 1588, et lut Vie du président de Thou ne levait tous envoyé avec Schomberg en Allemagne, les doutes à cet égard. On y lit à l’année puis à Venise, ou il apprit la mort de ce 15glg : all avait rendu des services consi-
