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. — DE nenni iv. o- - i poursuivés-en llellect commeidiune œuvI’e'meritoi1‘e et qui me Sera _ tres agreable ; et souvenés-vous du comte 'Octavio Anogadra, duquel je desire grandement la delivrance, et que vous en laciés telle ins- tance etdiligence, qu’elle ne soit mise en longueur, s’il est possible. Continues de m'advertir de tout ce que vousicognoistrés le meriter . et de rendre le soing, en tout ce qui Concerne 111011 service, que vous aves commencé d'y faire paroistre, dont `j’ay grand contente- ment : et sur ce, je prie Dieu, Mons"de Breves, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. De S*-Denys, le vnf jour d’aoust 1593. _ ' HENRY}. . ’ [ ‘ Jusqu’au mois de septembre 159â ces contre-seings, mais il ne peut y avoir de ` A lettres à M. de Brèves, comme celles aux doute à cet égard ; nous en faisons la re- autres ambassadeurs, doivent être contre- marque une fois pourtoutes. signées Revel. Ce secrétaire d`état, chargé Nous avons exposé, dans Tavertissement . des aflaires étrangères, étantmort le il ; de du III° volume, les raisons qui obligent à ce mois-là, fut remplacé, le 25, par M. de ne pas admettre dans ce recueil la plupart Villeroy, qui, dès le commencement de des lettres aux ambassadeurs. Au nombre l’année, s°étaitrallié au parti royal, et qui de celles que nous admettons par excep- reprit, ` par là, les fonctions où Bevol lui tion, se trouvent surtout les lettres à M. de avait succédé lors de sa disgrâce en 1588. Brèves. Le grand éloignement de sa rési- Villeroy garda, pendanti tout le règne de dence et la dilliculté des communications ' Henri IV, la charge des affaires étrangères ; avec la Turquie lui faisaient donner, pour , ainsi', dès la lin de septembre 15gA, les le tenir au courant, des détails plus cir- lettres aux ambassadeurs sont toutes con- constanciés sur les allaires du Ptoi et l`état tre-signées par lui, De Neafbillc. Les copies du pays, qu’aux autres ambassadeurs. du ms. Monmerqué nedonnent point ces _ turrass os namu 1v. — xv. 2