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DE HENRI IV. 221 maintenir en sasaincte garde. Escript à- Paris, ce ..... jour de sep- tembre l59l|`. ‘ . — - Vostre bon cousin et ancien allié, 15%.. — 2 ocrosns. D Orig, - Archives des Médicis, légation française, liasse 3. Envoi de M. le ministre de France à Florence. l A MON COUSIN LE GRAND DUC DE TOSCANE. Mon Cousin, I1 y a long temps que le cappitaine Cesar Niccolini, gentilhomme florentin, desiroit de vous aller trouver, mais a esté ' retenu, tant pour la charge que je luy ay donnée en un regiment de gens de guerre, depuis huict ans, que pourle danger des chemins qui se trouventen plusieurs endroiets de mon Royaume. C’est ce qui’l’a jusques icy empesché de s’aller rendre auprés de vous ; ce que je vous U ay bien voulu tesmoigner allectueusement ; que, si vous aves occasion de le gratillier en quelque chose, vous le veuilliés faire en ma recom- mandation, vous asseurant qu’il est personne de merite et qui m’a rendu preuves de sa lidelité à priant.Dieu, mon Cousin, vous avoir en sa saincte et dignegarde. Escript à Paris, leif jour d’octob1*e 1 Sglt. U i " ' "` . HENRY. Q ' on Nsurviris. 159li. —= 6 ocrornr. — i i u Cop.'-; Collection de feu M. Auguis. " ïlmprimé. — Histoire de Poitou, par THIBAUDEAU, t. V, p. 21-4- A MON COUSIN LE DUC D’ELBOEUF. Mon Cousin, J’ay _esté fort aise d’entendre de vos nouvelles par vostre lettre et par le s' Chalery, duquel _j’ay aussy sceu comme les choses sont composées en ma ville de Poictiers et les allections des habitans d’icelle toutes conformes à mon service ; à quoy je suis bien adverty que le bon exemple que leur. en avés donné a de beaucoup _