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. 2lÃL i LETTRES MISSIVES A ‘ nostreaobeissance elle non seulement les ca itales et rinci ales— I qu - l V-. ~1 P P villes de" nostre Royaume, mms le general de lOlIl}€S?lQS_P1`OVll1C €S d’iceluy, la moitié de Bourgogne exceptée, ‘ont desja recogneu, du moins se mettent en devoir de la subir), tesmoignentraux plusjsimples, par les praticques qu’ils font Couvertementen Flandres, ou ils sontèà i present relugieg, qu'ils sengagent ouvertement(a11`^[‘s_ervice du ;] roy (TES 8. DG, 811 PC lldlCB du IlOSlZ1`€ 8t de VOSlI`€ `lI'l)€I’lZé.` L,€lSS ;€UI`ÉlDC€ _ P J s, . que nous avons que ne consentires Jamais à une (TSI lasclîie ~llellonn1e, et qu’il vous reste, encore quelque estincellevdegîcezste/, ve’he1;;entç ardeur /_` il i ., ` l rfi —' L `• n , de laquelle vos predecesseurs ont embrassésla douce subjection de ceste Couronne, I'10llS\ NOUS BSCI’lI ;€ la PI`€SCI'l’li€ PO’LlI` VOUS (}Ol'1VlOI' Sllf _ laîfidelité que vous nous devés, que vous ne soullries plus longuement 1 vous priver du bien ; repos `ét contentement ique iyous voyés que Dieu prepare à_ tout nostre Bo’ya"i1n î'e, à lai volonte, et commandement duquel 1 il vous convient conformer.-Et ce pendant, de l’auctorite etbpuissance î Érovale que la divine bonté nous a__mis en mainœt donné sup, vous ' l’__ë . ., 9 L q \\_, \ R • successivement, et conlirmeelpar tant de <graCes et atlvançvenlens mira- Ol.ll8llX vous HG POU.VéS lgI]OI’C1`, DORS VOUQ d€lf$3I1(ÃlOI[;lS)ll§B^S° CXP1`€S , . ..., 'i> ‘. »_ ‘ . sement de permettre qul1l soit l’a1ct aulcune POUQSUICÈG Contre vos dicts concito ens ui se sont elliorceïycle mett1îe~nostre ville de Dion en Y, Cl J_ nostre ptussance ; et S1, soubs quelque préiteâte et ocCas1on que ce soit, _ ils reçoivent aulcune peine ou desplaisir, nous en remettons du tout <la _ laulte sur vous, et vousîen jtenons coupables, sans pouvoir esperer par quelque traicté, recniction ou negociatiqn qulil seapuisse faire, aulcun’e . ‘l - ‘7¤“J t .>”, i rpxl descliarge, 1 em1ss1on> oiu pardon. Pourvioyés donc qu'1l nly ayt sur ce &lllCUl'1€i f3.'LllÉB Z Caf tôl est DOSU`6 Donne P3I’lS, le XNTE jOll1` dÉ\îS€ `llCl']Éll)I`€ IRO i J? - f » C2 V ,, ~ ~ .9, HENRY. i U ci? '_ Q nvziâ., L- A r I D <j`_ L È `

  • ,11n’étaitpluspossible auxligiieurs, vait alors la Bourgogne donnaient, cl’ail- A

au point : lou étaienuarrivées les_>aH’aires leurs beaucoup de convenance et d`à;pr0- € ". *l_w_. "’> .`, ., . ". dlleriri IV? de ra1ller en lui ce toii de rox " pos a ces IHJODQUODS. u ~ et de 1rldîLre.L_es circonstances où se trou- o . =Ã' *