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. DE HENRI IV. ‘ 139 _ [1594.}- 15 Avmt. ' Imprimé. — Mémoires de messirc Philippes de Mornay, éd. in-!1°, t. II, p. lin 2. . , [A M. DU PLESSIS.] ' Mons" du Plessis, Despuis mon retoluvde Monceaux, j’ay tant esté travaillé d’une lievre continue, qui m’a duré sept jours et demy, et d’un eresipele au visage, que je n’estois nullement recognoissable par ceulx qui ontaccoustumé de me voir chacun jour. Je commence à m’en porter mieux, Dieumercy, et espere partir lundy prochain sans Q plus de remise pom aller à Fontainebleau, où je veulx que vous me veniés trouver en poste, pour ce que j'ay à vous dire beaucoup de choses non seulement sur ce que vous m’avés escript, mais aussypour vous faire entendre mes volontez et intentions sur ce que vous aurés I à faire durant mon voyage, que je presse le plus qu’il m’est possible. Que je vous voye donc au plus tostfet qu’il n’y ayt point _de faulte. Mais montés à cheval incontinent que vous aurésreceu ceste lettre, I laquelle je vous fais- par double voie. Bonjour, Mons' du Plessis. Ce samedy xv" avril, à Paris I. i HENRY. J ._ 159lt. — 16 AVRIL. Orig. — B. B. Fonds Béthune, 8847, fol. 52. p Cop. —Suppl. fr. Ms. 1009-3. A MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOISL p 1>Am ne FRANCE. _ Mon Cousin, Vos lettres du Vlllc de ce mois, que je 1 eceus hier, m’ont mis hors de la peine où _i’estois de vostre passage jusques à Langres 1; mais je seray encores plus aise quand vous serés arrivé au- ‘ Cette lettre était de la main du Roi. - ' De prince revenait de son ambassade gréments, et, comme on l’avaît menacé à Rome. Il y avait eu beaucoup de désa- demander au tribunal de Yinquisition les . 18.