de 1'estat auquel je laisseray ce pays, ou les corruptions et desordres
ont este plus grands et irequens que je n’eusse jamais creu ; à quoy '
je donneray le meilleur ordre que je ptourray, devant que je parte, à `
la charge d’y retomner exprès une aultre fois, s’il est necessaire,
pour y mettre la derniere main. Je prie Dieu, mon Cousin, qu’il vous
ayt en sa saincte garde. Escript à Rennes, le Xllljc jour de may 1598.
- HENRY.
on mazvrvttns.
[1598.]— 19 MM.
Cop. — B. N. Suppl. fr. Ms. 1009-2.
imprimé. — "Économie.; royales, édit. orig. t. 1, p. A77. a
Vic militaire ct privés de Henri IK Paris, 1803, p. nlsà.
, `[A M. DE BOSNY.]
` Mon amy, Je vous fais ce mot et vous envoye ce courrier exprès
pour vous dire quiau partir de Ptennes pour vous rendre à Paris
vous preniés vostre chemin droict à Tours, où vous me trouverés,
d’autant que _j’ay necessairement à parler à vous, pour chose qui im-
porte à mon service. Du dict Tours, je vous meneray avec moy en-
poste à Paris. A Dieu, mon amy. Ce mardy au soir, XIXC may, à la
F lesche. .
— 1598.-- 20 MA :. —I". i Cop. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 8972, fol. 76 recto. — Fonds Fontanieu, Ms. P. yé. — Fonds Brienne, Ms. 66, fol. 2 15 verso. Imprimé. — Mémoires et correspondance de du Plessis Morna_y, édit. de 182l1, in 8°, t. VIII, p. 518. [A MESSM DE BELLIEVBE ET DE SILLERY.] Mess" de Bellievre et de Sillery, Je vous escripvis le v1° du mois qldpptdEttsdp dPyB ’ t ue es e u ez es S a es rovinces unies es a S- as, navoien voulu recevoir la cessation de tous aultres actes d’}1ostilité durant deux mois, que nous avons obtenue pour la royne dillngleterre et