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_ U DE HENRI IV ; I 7ZiI jugeant combien la presence de nostre dict cousin est necessaire en son dict gouvernement. Nous l’avons mande pour nous venir trou- ver. Quand il aura este quelques jours pres de nous, et Payant par- r ticulierement instruict de nostre volunté sur ce qulil aura à’ faire pour nostre service, nous Yenvoyerons en son dict gouvernement. Ce pendant tenes la main à tout ce qui s’oH’rira pour nostre service et advancement de nos atlaires, comme vous aves tousjours faict. Nous renvoyonsle comte de Thorigny, et aultres nos serviteurs de nostre ' . dict pays de Normandie, pour avoir l’œil en ce qui despend de leurs _ charges. Donne à Tours, le xxuf jour de mars 1593. ' — I i i HENRY. A roman. 1593. — 23 mas. — lIl"". Orig. — Arch. du canton de Saint-Gall. Copie transmise par M. le ministre de France en Suisse. ` A NOS TRES CHERS ET GBÀNDS AMYS, ALLIEZ ET CONFEDEBEZ LESBOUBGMESTBE ET CONSEIL DESAINCT-GAL. Tres chers et grands amys, alliez et confederez, Le s' Studer nous a faict entendre la bonne intention que vous nousportes, et que particulierement en consideration des bons services qu’il nous a faicts et continue de faire, vous l’aves beaucoup favorise et secouru en ses affaires ; en quoy, comme vous nous aves obligez aussy, avons nous bien voulu vous tesmoigner par ceste-cy le bon gré que nous vous enscavons, et par mesme moyen `vous prier de continuer icelle bonne volonte en nostre endroict, et de la despartir encores tant au dict Studer que à nos aultres bons serviteurs, ses semblables :. ce que nous recongnoistrons envers vous à toutes les oceasions qui s’en presenteront, d’aussy bon cœur que nous prions Dieu, Tres chers et grands amys, alliez et confederez, qu’il vous ayt en sa saincte garde. I A Tours, èe xxi1_]° jour de mars 1593. HENRY. U FOBGET. ‘