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` DE HENRI IV. 679 qu’il luy soit renvoyé pour le faire chastier de ses demerites ; en , ‘ quoy desirant luy complaire comme j’ay occasion de faire en toutes choses qui luy touchent, selon la bonne correspondance qui est entre nous et que meritent les bons oiiices que je reçois continuellement en mes affaires de sa part, à ceste cause, je vous prie et ordonne que vous ayés à mettre le dict Anthoine entre les mains de quelque mar- chaud anglois qui soit congneu iidelle subject à la dicte dame, pour lei. ramener dans son navire en Angleterre et le rendre ou elle voudra., ordonner ; dont vous ferés charger le dict marchand par sa promesse et obligation, et m’envoyerés coppie de l’acte qui en sera faict pour s’en rendre responsable à icelle dame : et m’asseurant que vous ne fauldres d’y satisfaire, je ne vous leray sur ce la presente plus longue que pour prier- Dieu vour avoir, lVIons" de, "en sa saincte garde. . q _ . HENRY. 1592. --13 OCTOBP«E.— I"°. . ( Oxlig. —_B. B, Fonds Béthune, Ms. 9109, foi. qd. Cop. —Suppl. f’r.Ms. 1009-3. ` A MON COUSIN LE DUC DE NIVERNOIS ET DE BETHELOIS, couvnmvnun nr Mou mmucrnmur GENERAL en cnmmeun er imm. Mon Cousin, J’arrivay hyer d’assez bonne heure en ceste ville. J’ay senty beaucoup de mal et eu la liebvre durant le chemin. Je me suis mieulx porté ceste nuit, i Dieu mercy. Touttesfois, mes medecins ont advisé de me faire saigner ce matin de l’aultre bras. Je n’ay trouvé aulcune trouppe arrivée que celle du s' de Marcillyl, lequel _j’ay faict partir ce matin pouraller en l’armée, J’ay depesché- de tous costez J pour faire venir ceulx que j’ay mandez ; et estant venu hyer'Lyerville, escuver de mon cousin le comte de S*-Paul, me trouver pour sçavoir ' ' Jean Damas, baron de Marcilly, sei- teau de Bailey. Il mourut en 1632. Il avait _ gneur de Sassangy, vicomte de Châlons, pour père Claude Damas, baron de Mar- chevalicr de l'ordre, gouverneur du châ- cilly, et pour mère Anne de Remy.