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à 006 L ETTBES‘ ‘ '_ A Ude’N0;;msad ;e de setenir.prestesjà__îmonterraQehevâl au/'premier man-A dement, comme`Ãaussy, ni0_n cousin le ;l._diucg’f’elej, Longueville et les trouppes de ;Picardie‘. J e nevous don_neray` l’ alai nie qLi’spi~és` estre bien advertyodnâ dxesseingl. de mes ennemvsj Tav advis que d`Àmblise traicte ' avec le .sQ.de Brosselpour entrer, da_ns~ma villede Moiizonf et ‘y com- inander. îi sSe—1$, laeS» de Brosse"et auxi habitans du dict Mouzon pour les l’aire’souvenir'de la promesse qu’ils_ m'ont faicte. Je vous prie de leur" escrire pour les sommer de n’y manquer fet je prie Dieu. qu’il ` . vous/ayt ; mon Cousin, en sa saincte et digne garde ; Escript au camp `devant Rouen, le dernier jour de mars 15,92. i 5 ‘ HENRY. « L i q norm-., . i A «` 1592.—¥ 3-avmL. l i _— ‘ Orig. B,—R. Fonds Eéthunel 0lOQ, l`0l. &!s L l -Cop. — Suppl. f’r.4Ms. 1009-3. I l Imprimé. — Mémoires de Nwers, t. II, _p. 2gS. -AUM©1\§ COUSIN LE DUC DE NIVERNOYS ET DE BETHELOIS, T riixiiinnu Ii’BA1ÈC_ll ;`(l0(J\;JÈRNEU}1-ÈTIMON rizuernunvr en/ivpain. mv cn.mme_ur : nr mus.) ' Mon’Cousin, Les advisque _j’ay de Cliampaigne parfles dernieres despesches qui m’ont esté envoyëesîne/.font' congnoistre que le duc de Lorraine faict ses ellorts pour entreprendre sui? la frontierefayant i je prins quelques chasteaulx et>ruiné beaucoup de mes subjects du plat pays. N’estoit que je suis onligeia ceîsiegepjec vous envoyerois dés ceste heureples lansquenetz et `reistrës que je vousay promis ; mais il lanlt ach_ever»cest_œuvre que i_i’ ayg.A!com’in’encé, comme j’espere que Dieu m’en/ fera la grace aveç reinps. Ce pendant je desire que tous mes serviteurs de Cl1ampaigne«s’asseml)lent etsesvertuent pour s’opposer aux desseings du dict ; duc, de Lorraine. Ce me seroit un grand contentement si je voyois que vous allissiésl droict en vostre i \, '_ Nous conservons cette singulière dans la lettre originale, signée du Bpii et forme de conjugaison, telle qu'elle est' . du secrétaire d°état. ”` _