Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome3.djvu/634

Cette page n’a pas encore été corrigée

~ . M DE HENRI Wi .z— B E- 605 " - ~ t = i i` 'fn? Ã,." ;~ fiIs"i<~ ` H Q'; " I, af : U U •_*`;'r ^' M '- f / tr " ~_, "` r" \ Tûrsgî ëgtl, Q :‘îTlEî`é)’b`îE\g_;;' _` 1U V, ( -_l`“—; g *— 30 MABS Il 'slgl in ` (p °-’ r HOrig. autographë.'&-I}. B. Fonds Béthune ;M§. 9lOi,‘<l`0l, i`6oS ;!,° F ; gv. ;;, ‘ - r Cop. F npds Fontzlîiieu ; Ms`? P.']3, Fol. il ; réoto îe . 1mpr1mé.5 Mamos»¢sdczvgmslt. 1I,—p_.~"2g6> Q » — "}g_e ; h AMON LE DUC DE NIVEBNOISà î < "? Mon Cousin, J’ ay—ÉesteÃjbie, n ayse de sçavoirvostre bonne volonté l` " par Mido Rieux. ]e'n’en ay aussy nullement doubté. .l 'ay eu ce soir ` `hadvis, par deux des miens-qui sont arrivez de l’armée des ennemysf ‘ `comme ils se preparent de venir ala bataille. Je trouve bon que vous v IDBIIIBS vos canons poum a, <l1l3 l€»£l,1ot side Rieux, et que Vous ses_]ouII niés avec ; les trouppes és 'environsqile Melun.- Vous seavés que je ne vous mancleray point àllaulte,;, n y’Lqii’_il_ n’en sgmsmps, Yousenten- dres le surplus par lei`_s",çle€San’oy~;ils’ni ; ;1squst ;;¤}¢, remettant je ne, , . `< .'” § `—*‘î\.-_; ï`/ `; *»•‘ Ã' °’\ " î/Ã- '_‘ `I ii A l vous en d11‘ay ilavantagejz ;;fpou}‘__, pp1or~plot ; vous ayt, mon Cou- — -.‘ .=~\—l : sin, en sa_ga1 de. Ce :xxx° mars,. à’Derne_tal ;îgj.:_î — ' \• W -1) - M. :.3,:..i l .6* l2)??`;.` I _j ll l`.' il,) > ;—s* l5Q‘2;._-5 3~1 'Mi§RSi' ;_, ` . oÉsgÈ -Ys. ananas estime, iMs.2é109,-$01. ts. » ‘- l ” y L CoP_ ..L"Stlppl ;. Iîr.Ms, l0()9-3. _ ~ . OImprin1é._T—Mémoirqs’de l\Ècvçrs, t. lI, pi 297. _ _' l A_ COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS. ` ‘ <> `,¢"l‘ 9,— `,, _ . Mon Cousin, La responsejaquelle m a apportee le s' de Rieux, et ce qu’il m’a dict de vostre partfest conforme à ce que j'_en attenclois, xrfasseurant que, s’oH’rant Yoeeasiqn lle lalbataille, vous ne la vouldriés 'laisser passer. Je trouve bon queœous alliés ce pendant jusques à Melun avec vos tI’OUPP€S._VOUS-POUVé(§ faire quelque ellect és 'environs du dict Melunpour mon service,- etje vous advertiray de jour à aultre de ce que fapprendray de mes ennemysl llest arrivé à Dieppe quinze IÉ ~, J) l \ • J, a enselgnes tl Anglms, la plus—part p1cqu1e1*S. .l ay adverty les trouppes