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sans contredict. Aussy ceste provision a esté louéede tous les princes et seigneurs qui sont icy. Je m’asseure qu’elle le sera encores plus de vous que de nul autre, parce queoultre ce qu’il vous appartient de sv . prés ", je sçais que particulierement vous l’aimés comme vous l’en co- gnoissés bien digne. `

1592. — 27 MARS.

Orig. ¢— B. B. Fonds Béthune, Ms. 9109, fol. A2.

Cop. — B. B. Suppl. fr. Ms. 1009-3. .

Imprimé.- Mémoires de Nevers, t. II, p. 295.

A MON COUSIN LE DUC DE NIVERNOYS. _

mur. nx-: ramcr, couvmmsun nr mos rinucrnmur cnivnxm. nn cuanmzun nr nain.

Mon Cousin ; Jienvoie le s’ ide Bieux voustrouver de ma part, ` pour vous faire entendre les advisque j’a_y eus, desquels vous ’serés ‘ encore plus escl aircy-parles lettres interceptées qu’il vous porte ; _ sur quoy, je vous prie, mon Cousin, me donner advisde ce que _i’ay, à faire en ceste occasion : et attendant vostre prudent et bon con- seil, et me remettant à ce que vous dira le dict s’ de Bieux de ma part, lequel je vous prie de croire, je prierav Dieu, mon Cousin, i qu’il vous ayt en sa garde. Du camp devantllotten, le XXV1J° mars 1592.

HENRY.

roman.

Le vicomte de Turenne, duc de Bouil

le propre neveu du maréchal de Montmo-

ion, dont le Boi annonce ici Yélévation à

rency, par sa mère, Madeleine de Mont-

la dignité de maréchal de France, était

morency, fille aînée du connétable Anne.