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— DE HENRI IV. 559 advertir aussy tost par ce porteur, et vous faire entendre ces bonnes nouvelles ; Bonsoir, mon Cousin. De Sommereul, ce jeudy xx11J°_jan— vier 3. 5 . HENRY. ` 1592. — 2 g isivvinn. _ Orig. — Arch. de la ville de Metz. Imprimé. - Lettres du roi Henri IV aux magistrats et habitants de la ville de Metz. ISEO, in-t’ol. , à Metz, p. 10. A NOS TRES CHERS-ET BIEN AMEZ LES MAISTBE ESCHEVIN. TREIZE ET CONSEIL DE LA VILLE DE METZ. J ` Tres chers et liienamez, Nous avons entendu par vos depputez, et veu particulierement par les articles et remonstrances qu'ils nous ont PPCSCDLCZ (l€ VO SlI’O P3.l’l. 188 gI`3.Dd€S Iid\'3]'lC€S (IUC VOUS aves l`3lClÀS pour Yentretenement de la garnison de la ville et citadelle de Metz, et la necessite enlaquelle vous estes reduicts par les dictes advances, (lill VOUS OSLC LOUÈ IIIOYCH, à l’£lVCDlI‘, (le POUVOlI` CODl.lI]UBI` les `PI`€, SiLS POU? la dicte g3I’l'llSOIl C’est il DOSLPB gfâlïld 1"OgI‘€l, (IUC DOLIS cognois- sons vostre derniere necessite, et que nous ne pouvons à Present-)! apporter le remede que nous desirerions et tel. que nous esperons y donner à l’advenir ; mais nous nous asseurons que, considerans de vostre part les grandes despenses desquelles nous sommes ; chargez, ' ° Les embellissements qu’on a voulu meritent pas de vous estre mandées. Mais en I faire à cette lettre,.dans les Mémoiresde voicy une qui merite tonte la diligence du Nevers, ar unarran ement-évidemment courrier. Je viens de rendre un la uais P 8 P N 9 plus moderne, l’ont entièrement dénatu de Gramont, qui s’en alloit à Paris pour rèe, en y introduisant, sur les personnes porter des lettres- de Vitry à— ma femme. , dont il y est fait mention, des erreurs .]'ai appris par la lecture d'zme, que mes graves qui sulliraient à dénoter Faltération. tantes et ma cousine la duchesse de Longue- cruand même on n'aurait pas le contrôle ville furent hier mises en liberté. Jugés si de Yancienne copie. L’abbé de l’Ecluse je suis bien aysedlestre le premier à vous s'était contenté de ce texte des Mémoires donner cette bonne nouvelle, puisque je ' de Nevers : « Mon Cousin, les ennemis ne sgay le contentement que vous en recevrez. ,- sont pas encore deslogez. J e verray aujour- Bon soir, mon Cousin. De Sommereul, ce d'huy ce qu'ils veulent. Ces nouvelles ne jeudy 23 de janvier 1592. Signé Hnmw. »