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DE HENPQEIV. i 379 declarema volonté ; Peu auparavant lens? de Vanes m'estoit venu trouver pour me faire dire le propos qu’il avoit eu avec l’un de, ceulx .dw con- . , sei] dw Lorraingiduquel [il avoit appris] que le duc de' Lorraine auroit la volonté de traicter avec moy pour apporter une fn à laguerre erfn. Mais je n’ay faictr aultre response au dict sf de Vanes que,. quant [aux propositions] de la part de Lorraine, je feray ce que je. verray. estre à propos pour Ie bien ; Vespere que vous serés prés de moy avant que je prenne¤resolu—tion sur ce faict. Aussy desiréje la faire avec vostre advis. I Mon cousin le ; duc dÈEspern0'n, venant trouver mon cousin le duc i de Longueville, a prins le gouverneur de Montreuil, sonfilset son q lieuctenant'; et peu de jours auparavant, la. garnison de Dieppe a deH’aict` cent cinquante chevaulx du duc d’Aumale ; Le s" de Guitry a. aussy battuf mes ennemys en un. combat qu’il a. faict contreleulx en . Savoye ; et mon cousin le prince de Dombes a delîiaict depuis peu deux. cens chevaulx et cinqcens hommes de pied du duc de Mer- ' cœur ; qui faict assez paroistre combien Dieu par sa grace favorise de tous costez —mes serviteurs :-et sur ce, je prie Dieu qu’il vous ayt, l mon Cousin, en sa saincte garde. Escript au camp de Chartres, le x1x°‘_iour d’avril 1591. i A . HENRY, _ ` . ‘ POTIEB. i 15912— 19 Avmij. — W"'? " ` Orig. — A Londres, State paper oiïicc. France. Transcription de M. Lenglet. . -A MONS" DE BEAUVOIR. ` cousa1z.ran m~z Mor coNszxr nrsrur, carrxraxue ne cmoumre uomms n-sans- ° DE MES ORDONNANCES ET MON AMBASSÀDEUR EN ANGLETERRE. Mons’ de Beauvoir, Je vous ay donné advis pan mes dernieres! ' lettres, qui sontdu x_]° de ce moys, de lwcappitulation? ou ceux. de ceste h ville estoient entrez ; avec moy, et quelle condition>je> leur avois ac- cordée, à scavoir’quïelle seroit remise à mowobeissanceg si- dans huit jours, qui expirerent hier, il ne venoit armée qui me feist‘ lever le . A8. .