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DE HENRI -IV. . 3'7=l asseurant que, sigfay cest advantage,‘:avec le bonheur qui accompaigne tout .ce qui vient de. vostre part, je le feray sy bien valloir, que fes- pere que le liruict en sera double ; ‘qui rendra aussymon obligat~i?o11 d’autant'plus grander en vostre endroict.i*Et sizrrien me restoit à=vous‘ engager =de moy+-mesme, je le vous oH?riro i’s en recompensenmais vous =estant desjà acquis tout entier, je ne vous puis prop'ose1É#que l'honneur que ce vous sera de conserver ce qui est à vous, commeë en i vous baisant humblement les mains jeu vous supplie croii#e» queaijîe seraytousjours,.fMada me, ': * Vostre plus aH’ection né frere et serv»i<teu r, : si . " r `HENRY. " _* 11591. — 1 1 AVRIL.-11me. l I p Orig. — B. B. Fonds Béthune, Ms. 9104, fol. 51. Cop. — Suppl. fr. Ms. l009-3. ` Imprimé. —~ Mémoires de Nevers, t. JI, p. 238., ' A` MON COU.SIN LE _DUC DE NEVERS] " ` _PAIB DE FRANCE, GOU\îERNEUl\ .ET— MON, I.IEUCfllENAN'I` GENERAL EN~.C llAMPA_lGNE ET BRYE. Mon Cousin, Depuis vous avoir escript mon aultre lettrejles assiegez se voyant fort pressez, ont esté contraincts de venir à une capitulation, laquelle je leursay accordées, pour leodesir quejïayide rlarzconsenvation demes villes et subjects, ne desirant d’eulxa que Yobeissance quvitmîest . deue. Ils serdoivent rendre le dix—n eulvi<esme ;d e’ ee moysgr sit dans zle xv111° le due de’l\/Iayenne ne 'vient me l’aire 'lever l e si :egie, s o31 quÉ=iü n’y entreaquatrezeens hommes zde secours e1aazune3loys. »rsm¤ lèzrprel mier, ;ili n'y a apoint dlapparencer que 16’}d11‘C!(l€`M&ôf6DH€îNl6DH€, iàPPéS avoir tant- attendu gi et je vouldroys : avoir aquitté des ':dictsiga’ssiegez~1d'e leur~ pnomesse, ..et> ¤qu?il se —fu*stî `resolu ide :s’a dvancer venulieu. où. 1 je peusseiluy donner une sbatailleu Quand au' se co=nd, j?espere,»>ave’c _ l’ayde de Dieu, faire sy bonne garde pendant ces huict jours, que iempescheray bien qu’il n’y entrera aucunsecours. Le surplus des ° /17- .