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DE HENRI IV. 3(17 - . 1591..—— 38 révansn. > . Orig. -- Arch. de M. le comteide Lubersac. Ã A lvIONS“ BPJQUEMAUT. r i _ _Mons' de Bricquemaut, Quatre jours aprés vostre despart, et Yen ; _ " demain. que nousvenions dlinvestir Chartres, m' de Gramont y arriva avec une compagnie de chevaux legers, harquehusiers à cheval, ce qui a un peu rasseuré ceuxde la ville et les laict chanter plus hault ; mais nous avons de quoy chanter plus hault qu’eulx : c’est dequoy tirer plus de trois mille _coups_ de canon, que m'_ de Lubersac a ra- mené de Normandie, sonbs l’escorte de sa compagnie, non sans_s’al— leger du poids en route. Ce ne sera besoin de touteceste musique ` pour leur ouvrir l'oreille, d’autant qu’il n’y a point 'd’indice_de Se- ° cours possible ; mais, comme il vaultmieux prevoir en tous cas, je vous prieray faire en sorte, en- vostre quartier, que chascun soit prest à. marcher à premier ordre. Ne manqués en cede diligence ; vous ferezrhose agreable à q -` i V, Vostre alïectionné maistre et amy, i . "HENRY. Du campdevant Chartres, ce xxvnf febvrier. _ - 1591.--3 Mans., i ` i Orig. — Arch. du Royaume. Sect. hist. Série K. 105-2. É _A MON- COUSIN LE DUC DE MONTPENSIER, couvnnmaun un- nou msucrnuanr csunnsx. ns noanimnm. _ Mon Cousin, Ayant escript bien amplement, par aultre lettre, sur le faiot de la capitulation d’Avranches, la presente sera pour vous res-. pondre sur ce que ni’avés escript en faveur des s" de Beuvron et de Ba- seliere, touchant lesquels je vous diray que je suis tesmoing, autant que nul aultre, des bons services que m’a faict le dict s' de Beuvron, A ilsli.