aultre eH’ect, je prie Dieu qu’il vous ait, mon Cousin, en sa saincte
et digne garde.
De Attichy, le xx° jour de novembre 1590. e
._ I HENRY.
. rorxnn.
[1590.] —— 2 1 Novnnran.
i Imprimé. —Méntoires de Nevers, t. II, p. 218.
~ i [A MON COUSIN LE DUC DE NEVERS.]
_ Mon. Cousin, l’af}`ai_re du s' Berlotte m’est fort recommandée. Mais
celle de sa partie 11’est pas moins considerable. Je 118 veux en cela
suivre ny mes sentimens ny ceux des interessez. Les Bois sont esta-
bl s our rendre `ustice, et non 0ur entrer dans les assions des
Y P J P P
particuliers ; c’est pourquoy je remets toute mon autorité entre vos
mains, allin que vous jugiés ceste aH’aire sans preoccupation. Je vous
manderay au premier jour des nouvelles qui vous seront agreables
aussy bien qu’à tous lesbons Francois. Bon soir, mon Cousin. Ce
xx_]° novembre.
' . HENRY.
_ 1590. —— 2l ; Novnnnnn. — I'°. _
Orig. — B. R. Fonds Béthune, Ms. 9104, fol. 24. _
Cop. — B. R. Suppl. fr. Ms. 1009-3.
Imprimé. — Mémoires de Nevers, t. II, p. 220. .
J A MON COUSIN LE` DUC DE NIVERNOIS. ‘
Mon Cousin, Ayant entendu jeudy au soir que l’armée de mes en—
nemys avoit passé la riviere de Marneet qu’elle estoit logée à la
Ferté Milon et à Ully S`*-Front ‘, je partis hier matin pour m’approcher
’ Neuilly-Saint-Front.
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