Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome3.djvu/302

Cette page n’a pas encore été corrigée

— p DE HENRI IV. 273 . CHDGITIYC, vous aures àAj3.II13lS (18 l']OStI’O P3.I"ll UJ1 llI ;éS COI’t3lD I‘3PPOI’l pour vostre seureté et repos ; cé que pour plus particulierement vous . exposer, nous advonsadvisé d’envoyer vers vous expres nostre amé et feal gentilhomme ordinaire de nostre chambre le s' de Buzan val, à la suffisance et fidelité duquel nous en remettant, nous vous prions le croire de ce qu’il vous dira de nostre part comme nous—mes— _me’s : priant Dieu, Trés chers et bons amys, vous avoir en sa saincte i garde. Escript au camp de Gisors, le XXVlJ’jO11I‘ d’octobre 1590*. _. ` i ‘ HENRY. p asvor. . . [ 159-0. — 2 7 OCTOBRE.] — II'". ‘ ` i Cop. — Arch. de la Couronne, salle 5, anciennes archives, Ms. 50, fol. 69 recto. _ ‘Cop. —_Bibliothèquc de M. Monmerqué, Ms. intitulé Despcschcs. instructions et commissions, . fol. lil ; recto. _ ‘A TRÈS HAULT, TBÉS EXCELLENT ET TBÉSPUISSANT PRINCE, CHRISTIAN ; nor DE nauizmau mr nr : uoawrcs, nec nr uonsrriu nr nn scunssvic. _ Trés hault, trés excellent et trés puissant prince, nostre trés cher I et trés amé hon frere et cousin,. compere, amy, allié et confederé, ` Vous aves peu entendre la grande et violente rebellion qui s’esleva i en ce Royaume contre le feu Roy, dernier decedé, nostre trés cher , seigneur et frere, aprés la mort du feu duc. de'-Guise, et laquelle a= tousjours continué contre nous depuis- Ilostre advenement à cette Couronne, comme elle faict encores, la couvrant maintenant du pre- texte dela religion, à cause que nous ne faisons profession de la I’OIl'l8.lI1B,.` qllillS 'i.l€l'll'1BDt§ D,€IIlPCSCllC lKOUlLGSl’OlS (IUE ÉOIIS les ‘ Le même jour le Roi donna avis de rice de Nassau et aux principauit membres cette lettre et de la mission de M. de Bu- du conseil des Etats. (Ms. des arch. de la senval àl'amiral des Etats, au comte Man- Couronne, fol. 76 et 77.) - f rai-mi les lettres d’Henri IV, copiées ltobre 1590, et contresigné Bevol.L’ancien en Danemarck, et transmises par M. le textefrançaisquenousdonnonsicipeutêtre vicom_te de Saint-Priest, se trouve le texte considéré comme la rédaction Première, latin de_celle-ciçdaté de Gisors le 27 oc- dont ce texte latin officiel est la traduction. Lzrrans on usmu iv.--ux. 35 ‘