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_ 250 i LETTRES MlS_SIVES prieres et toutes bonnes œuvres, à ce qu'il luy plaise continuer sa benediction sur nostre labeur jusques à la perfection de l’œuvre. Donne au camp de [Chelles], le v1_]° jour de septembre 1590. C HENRY. y, roncar. I, 1590.-- 1 1 snrrnnnnn. ——I’°. _ Cop. -- B. B. Suppl. fr. Ms. 1009-2. (D’ap1 esl’ancien cabinet de M. de Mendajors ‘.) _ [A MON COUSIN LE DiJC DE MONTMORENCY, mn mr miiscnw. nx-: ramer, couvmmmcn mr Mon Lxaucramur cassini, mv LANGUEDOC.] ' Mon Cousin, Vous verrés par l’aultre despeche que vous aves en ce mesme paquet, comme les choses s’estoient passées jusques icy, p _ depuis que le duc de Parme enst joinct les ennemys. Despuis, voyant que j’estois forcé de separer mon armée, qui s’estoit aussy grossie de cette grande trouppe de noblesse, sous Tesperance d’une bataille, à laquelle ayant cogneu_qu’il n'y avoit ordrede faire venir l’ennemy, ny de resolution ny par contraincté, il estoit impossible de les retenir icy davantage, y estant accourue quasy sans equipage et avec beau- U . coup d’incommoditez, je me resolus, avant que les séparer, de faire . un elliort sur Paris ; et, avec une trouppe d’inf’anterie, et avec une aultre de noblesse, leur donner, ce matin, à la pointe du jour, une - escalade, avec desseing, si le faict ne reussissoit pour la ville, que pour le moins ce seroit une occasion de faire venir Yennemy au combat, les ayans faict attendre par le reste de mon armée. Mais ceux` de de- dans ayant esté advertys de l’entreprise de Yescalade, elle n’a. point l ’ M. de Mendajors était membre de recueil des lettres de Henri IV, avait ob- i ‘ l'Académie des inscriptions et belles- tenu communication de toutes celles que lettres au commencement du siècle der- conservait M. de Mendajors, amateur dis- _ nier. L_'abbé de l’Ecluse des Losges, qui, tingué de curiosités littéraires. ' comme nous l'avons dit, avait projeté un