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. DE HENRI IV. 177 promptement accourus à nostre mandement des provinces voisines-, nous avons aussy esté vertueusem ent et Iidelement assistez des forces - de vostre nation qui s’y sont trouvées avec nous, mesmes de ceulx de vostre canton, a ant montré une s brave resolution et ene- Y Y Y S ° I rosité de courage, qu’1l nous en demeure un tres grand contente- men ; on nous vous avons ien vou u onner esmoi na e ar a t d t b l d t 1 resen e, le v us asseurer e ce a nous accrois e us en us a t t o _qu l t d pl pl l volonté de lestraicter le plus favorablement qu’il nous sera possible, ` n esien re aussy °e ec ou e surp us vos re ca on, etde td llïtàttl Ide t nt commeparticipant au merite de leur bon et loyal service?'. Et d’aul - ~ tant que, depuis l’arrivée du capitaine Creder prés de nous, les con- ' . tinuels exploits des guerres et courses ou nous avons esté occupez ne nous ont donné aulcun repos ny loisir d'adviser aux affaires dont il a charge de vostre part, et lesquels nous sont continuement repre# sentez par le s' de Sillery, 'nostre ambassadeur, nous vous avons bien voulu dire l’occasion de ceretardement, alinvque niestimiés que nous n'y apportons toute la bonne volonté que la raison y desire de nostre part, vous asseurans que nous y pourvoierons dans peu de temps et leplus à vostre contentement que faire sepourra ; comme nous espe- rons que l’advant/age que Dieu nous a donné sur nos ennemys nous rendra les moyens plus prompts et faciles de vous_ satisfaire. Ce pendantnous le prions qu’il vous ayt, Trés chers et grands amys, alliez et confederez, en sa ’trés saincte et digne garde. ` ‘ Escript au camp de Mante, le xxf jour de ll`13I’S 1590. t i I i A HENEY. _ _ . . never. dans Yimprimé que dans la copie prisesur I ° La lettre au canton de Zurich s’arrête Yori inal., " ici. ' g . . rnrrnns ne mmm iv.1-m. _` 23