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y DE HENRI IV. A 107 en vostre endroict : priant Dieu, Trés chers et grands amys, alliezet confederez, fqu’il vous ayt en sa saincte etndigne garde. . A - Escript à` Laval, le xvi1J°' jour de decembre 1589. . . i i i HENRY. _ ii h i i i BEVOL. u _ — i 1589. — 28 DÉCEMBRE—I'°. — A ~ `Orig. —:Arcl1. royales de Wurtemberg, à Stuttgard. Transcription de M. Kausler. ' — i lA MON COUSIN LE DUC DE WIBTÈMBEBG, I _ pamcxa nu samer i :m>xas". `_ Mon Cousin, Vous n’avés pas rendu vaine Tesperance que _i’ay eu I en l’antienne amitié qui de tout temps a esté entre la maison de France et celle d.e Wirtemberg ; qui m’a faict conlidemment adresser à vous, pour estre aydé de vos moyens en ce besoing ; en quoy le s' de Sancy, conseiller en mon conseil d’Estat et cappitaine de cinquante hommes d’armes de mes ordonnances, qui aesté vers vous de ma part, m’a faict entendre qu’il vous a trouvé prompt et liberal à me se- courir, ayant accorde,-pour vostre part des trois cens mil escus, dont j’ay fait rechercher mes bons amys et voisins, les princes du Sainct- Empire, la somme de trenteÃsix mil llorins, dont vous luy en auriéslaict delibvrer promptement di’x eliuict mil. Je n'ay voulu faillir de vous en remercier, et ay commando.aux s"‘ de Scliomberg ou de Sancy, qui sont par delà pour monservice, de vous aller faire ceste"ol’l`re dema ` part, et vous porterle contract que je vous ay faict expedier de toute la somme entiere, lequel je vous' envoye de mota mot, tout ainsy que ledict s”-de Sancy me l’a envoyé, encores qu’il ne soitvpoint aux termes ny en la façon dont les contracts ont accoustume de se dresser _ en ce Royaume. Je le vous pourray avec letemps envoyer enfautre forme ; mais parce que rien ne me combat tant aujourdhui que le ‘ Louis, duc de Wurtemberg, iils de céda à son père, le 28 décembre 1568, Christophe le Paciûque et d'Anne de et mourut’le8 août 1593. _ ' Brandebourg—Anspacl1, né en 15[ili, suc A ` » il ;.