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DU ROI DE NÀVABBE. 67 tion de mes interests et de tout ce nfest le plus cher, hors l’hon- , lilûlll`, VOUS û'(.lSl, HPPOI’lZû.‘l§I`3I1(I`\lll.l1`lÃû et Sûl1I`û`lÃû, VOUS D ûllSSlûZ pO1I]ll ûll de HICS l'lOl.lVûl.lûS, ûll 3.VûC llH(lVlS ût l.l3SSlSll3I]Cû de I'DûS SûI’Vl’l)ûllI'S C I I I p u _P8.I’b1C’Lll1ûI’S, ],û\lSSû, 3UX (lûSI)ûHS de Hlû Vlû, 3I’I`ûSlû les ûUl'lûII]lZ. Mais estant question de la conservation ou de la ruine de toutes les eglises rellormées, et par là de la gloire de Dieu, _j’ay pensé devoir de- liberer avec vous de ce qui vous touche. Ce qui se presente le premier. à lI’illClZûI' est, si HOUS dûVOHSi 3\’Ol[‘_lûS l'Il2llIlS CI’OlSûûS (lUI`3.Dlà le (lû bill) de DOS ûI’lI`1ûI’IllS, ûDVOîûI‘ lOI1S DOS gûI`1S`(lû.gIlûI’I’û (lûd3l'lS àl`- v l mées_ du Roy, sans nom et sans authorité, qui est une opinion, en<la bOl.lCl]û et 3.11 ‘C(BUI` de PlU.Slûl].I ;S§ OU. blûll, si IIOUS (il.ûl)VODS avec EtI’I]lûS_ SûPElI‘ûûS SûCOUI‘.lI° le Roy û`là PI`ûI`1dI`û les OCC£lSlOI'lS.qU.l Sû.PI`ûSûI]lûI’OI’ll ; lique ruiné par le Catholique, et que l’ou au roi de Navarre, a_joute—t-il, sur laiin du ne pourroit les accuser d’ambition, quand. discours du mestre de camp, de s’escrier : ` aucune compagnie neporteroit le nom ¤Je suis à lui. » Telle estoit lors l'ardeur d'un Befformé. Cette nouveauté se rendit de ce jeune prince. Ces mots, joints avec agreable à plusieurs..... et comme elle les raisons de la derniere harangue, lit passoit de paradoxe en deliberation, le que le reste de Yassemblee souscrivit a la roi de’Navarre qui, iinissantlassembléede derniere opinion, fortifiée de quelques Montauban, avoit demandé un nouvel’en exemples qu’apporta le Plessis Mornay, et _ voi de depputez par touttes les provinces. aprés lui le prince de Condé. ». , les recent en ce temps-là, et donna rendez- Les mémoires du maréchal de la Force, vous à Guistres, pres Coutras, à tous les que vient de publier M. le marquis de la chefs du parti. Tous s’estans rendus en I Grange, présentent ici une singulière ce lieu, Tassemblée fut convoquée un ma- contradiction avec ceux aa d’Aubigné. Le tin, en une grand' salle du prieuré, où même discours que s’attribue çelui—ci est furent commandez d'assister quelques attribué, dans l'ouvrage nouvellementim- mestres de camp ; si bien que cet amas es- primé, à la Force. Le texte de ce discours toit de soixante tcstes. » A estpareil, ctl’ell’et soudain qu’il produisit ' D’/lubigne, aprèsle discours du roi de estégalemeutraconté, bien qu'avec moins _ Navarre, donne celui du vicomte de Tu- de vivacité que par d’Aubigné. Quant au renne, qui fut contraire à la prise d’armes titre de mestre de camp, il n’y a point de , des protestantsr Cette opinion réunit les doute sur le personnageque d’Aubigné _ voix des vingt membres de =l’assemblée désigne ainsi ; car il dit dans ses mémoires qui séparaient Turenne de d’Aubigné ; car (page 107, édition d’Amsterdam, 1 73 1, c’est lui même que cet historien désigne in-12): «C’est moi qui dans mon histoire ici, comme en d’autres endroits, sous le m'y suis désigné sous le nom d’un'mestre titre d’un mestre decamp, all eschappa ide camp'. » - . p g. `