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ANNÉES. MOIS. JOURS. LIEUX DU SÉJOUR. DOCUMENTS qui ÉTABLISSENT LE SÉJOUR.

1565. Juin. I 5 Retour à Bayonne............ Jouan.

12* dg l‘âge ; Du 16 au 30 Bayonne......... Idem.

Juillet, 1er Bayonne.................. Idem.

2 Dîne à Bayonne ; couche à Saint-Jean-de-Luz. Idem.

3 Dînc à Saint-Jean-de-Luz ; va avec le Roi reconduire la reine d’Espagne, et revient coucher à Saint-Jean-de-Luz. Idem.

Du 4 au 10 Bayonne.....,.........,,.... Idem.

11 Dîne et soupe à Biaritz ; couche à Bayonne. ‘Idem.

12 Part de Bayonne ; dîne à Hurt 1; entre en Navarre, et couche à Bidache, chez le comte de Gramont. Idem.

13 Dîne et soupe à Bidache ; couche à Peyrehorade ;Idem.

14 Dîne et couche à Dax........... Idem.

15 et 16 Dax....................... Idem.

17 Dîne et couche à Tartes......... Idem.

18 Dîne et couche à Mont-de-Marsan.. Idem.

Du 19 au 22 Mont-de-Marsan................ Idem.

23 Dine et couche à Cazères......... Idem.

prince. Ce qu’il me dit pour m’instruire de ce secret est peu different de cecy. L’histoire dit que la cause des seconds troubles fut le voyage de Bayonne, pour l’estroicte conference gui Int entre la Reyne et le duc d’Albe ; mais elle ne dit PRS COUIIDB fill (IGSCOUVCIÈB UDG l’BSol|.\l.IOD dCI.EI’I’DlDé€ entre deux testes et quatre yeux. Ce ne fut pas la Reyne mere qui avoit trop d’interest à couvrir son jeu, et qui sçavoit bien qu’une partie de la prosperité des grandes entreprises dependoit du secret ; ce ne fut pas non plus le duc d’Albe, qui ne disoit jamais que ce qu’i1 ne vouloit pas faire, ne parloit de ses desseins qu’en les executant..... Les interessez n’en ont rien accu que par ce petit prince, qui suivoit la Reyne partout, et elle ne le ponvoit horaire de veuë. Il se trouva au cabinet, escouta et retint la resolution de ce conseil ; ces paroles d’ardeur et de feu, ou lieu (ie fcsteindrc en C0 bolS VBl’d, yÃdCIl1€Ul’€l’CDi.. les l’CPTCS¢Di U si 6d€lCm€Ul it la royne de Navarre, sa mere, _ct elle y ndjouta tant d’ardeur et de vehemence ch l’advis qu’elle en donna ou prince de Condé et ia l’Admir¤l, qu’il ne fallut antre trompette pour les reveiller. » (Histoire de France, I. V.) V

’ « Qui ne sont, dit le journal de Jouan, que deux maisons sur les bords du Gave. »