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. i DU ROI DENAVARRE. (13 _ que vousne la revocquerez jamais en doubteï.— Ce pendant je- vous prie faire acheminer au plus tost Semetière jusques à Neracçei qu’il apporte les deniers< advances, et luy faire I’ournir—~d’escorte _iusques `=à Eauze, pour la— seureté des dic1;z •'deniers§— luy=~mandant de =vous fournir la — somme de cinq cBnS €`SCl1Z, p0îlT~f3iF6 ilI’3V8.lll€I` aux pouldres,¢¤à1;ten- dant quejlaye 'commodité devous en laire fournir davantage ;E1;‘quant au payement d’un aultre quartier pour la garnison de Navarreinx ; je vous prîe, Mons' de S‘ Geniez—, d’adviser defaire compterau plus tost Hereterjpour la reeèpte des biensrecclesiastiques, et Salinis pour le temporel, suyvant la- commission que `_i’en ay. cy-=devant.envoyée pour cest efYect, parce quon ‘m’a asseuré qu’il y a- l`0ndz suHisamment ; si-, noni je ne'faudray d’y pourveoir dïailleurs au plustost. Je vous prie aussy mefaire response sur la proposition- nagueres faicte par Fortin, mais surtout user de’diligence a faire acheminer le dict Semetiere : i laquelle je ne vous- recommanderay davantage,=pour prier Dieu vous avoir, Mons' de S* Geniez, en sa tressaincte et digne garde. De Berge- rac, ce xx° jour d’avril 1585. -. i Voslre bien affectionne et assuré amy, _ I t D HENRY. i i l5S5.—— 21 avan,. _ Or1g. —Arch. des Aiïaires étrangères, correspondance politique, Mss. France, n° xxx, fol. 35 recto. ’A MONS“ DE ST GENIEZ, ' GOUVEBNBUH ET MON LIEUTENANT GENERÀI1 EN MON ROYAUME ET PAYS SOUVÉRAIN `DE i ' '* ’ i'I?EAB§i l `f Vliî (à Mons" de S‘_Ge11iez, ‘.l’ay’l’ort particulierement' entendwlespoincts contenus en voz. memoires ; et,.pour vous y respondre par ordre : je trouve tres bon la delivrance de mes monnoyes souhz des conditions ' si advantageuses, îpuisqu’ilz advancent la moitié de l’all’erme comp- tanti sur les quels deniers on vous envoye une rescription de quinze censlivres pour les pouldres et salpestres, et une aultre de cinq cens livres sur les- deniers de mon domaine, pour les fraiz des voîages, , 6.