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. DU ROI DE NAVARRE. [129 sentîestre rendues à mon cousin mons' de Montmorency. J’ay esté proche du sepulcre par une pluresie ; mais à present, Dieu mercy, je commence à me mieux porter. Ceste-cy n’eStant à autre fin, je ne la vous feray plus longue, sinon pour prier Dieu vous avoir, Mons' de Scorbiac, en sa saincte et digne garde. De Sainct Pere 2, le xx° de janvier 1589. p P A ‘ Vostre bien affectionne amy, . HENRY. I 1589. —— 28 Jauviea. Cop.- Biblioth. de Tours, ancien manuscrit des Carmes, coté M, n° 50, Lettres historiques. page 271. Communiqué par M. le préfet. i A MONS“ LE DUC D’ESPERNON. _ Mon Cousin, Je vous remercye de vostre-bonne visitation, qui m’a esté fort agreable. Je me porte, grace à Dieu, de mieulx en mieulx, î et m’en voy prest à bien faire. Le s' de Beaujeul vous dira comme j’ay esté ce jourd’huy à la chasse. Il ne tiendra plus qu’a vous que je n'aye ce contentement de vous voir, à quoy je- vous prie vous dis- poSer, `esperant vous envoyer dans peu de jours un gentilhomme qui vous i’era_plus particulierement entendre mon intention : J’ay receu u quelques lettres que des miens- ont surprinses, et pour ce qu’elles àCastr_es pour gouverneur ; mais il fut in= une commission pour estre general en terdit par le duc de Montmorency, vers la Quercy, Rouergue et haut Languedoc, et iin de décembre. Faurîn, qui nous fournit en son absence, à Avantigny. » (Journal des ce renseignement, ajoute ; à la date du guerres de Castres.) _ ig janvier 1589 : ¤Turenne demeura à 2 Champ-S‘-Père est la paroisse du châ- Turenne, à cause de sa blessure de la teau dela Mothe-Freslon, où le roi de Na- cuisse. Le roi de Navarre lui avoit donné varre était resté malade du IO au ao. ' Charles de-Mesnil-Simon, seigneur de de Boislxerpin. ll avait été `gentilhomme Beaujeu, Sens, Neuilly, la Chapelotte, etc. de la chambre du duc d'Alençon et avait iils de Jacques de Mesnil-Simon, seigneur épousé, en i58â. la sœur de M. d’Avan— ' de Beaujeu, etc. et dlsabelle Regnaud tigny.,. p