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h DU ROl DE NAVARRE. I, 427 l’eH’ort de noz ennemis comme à embrasser une bonne paix, s’i1’p1aist à Dieu nous lioctroyer. Je pense avoir. tant. de bons amys ou vous estes, et espere tant de leurs bons advis et conseils ; que nozeaffaires I ne pourront prendre qulune bonne et heureuse issue. Sur tous, _j’ay . ceste en Vous ; quecontinuant vostre aiiection ` à tout ce qui est de la gloire de Dieu, vous apporterez aussy en ceste negociationtout l’ayde et le secours que pourrez ; Je vous en prie _ bien fort, et vous souvenir tousjours de mov, comme de celuy qui est - — Xlostrebien afïectionné et asseuré amy, q A. HENRY. " _ [15f89.—vn1=«s 1.1. Mi—JANv1r :r..] _ ‘ Orig. autographe. — Biblioth. de llàrsenal, Mss. Histoire, n° 179, I". '- iii _ " Cop.-- B. R. Suppl. fr. Ms. 2289 -2, et Ms. 1009 -11. ° Imprimé.+Mercure de France, année 1765, janvier, vol. II, p. 58. — L'e.sprit de Henri I}'. Paris, 1770, in—8°, p. 156.- Vie militaire et privée de Henri IV. Paris, _an XII, in-8°, p. 131. 4-Lettres `de Henri IV, `elc. publiées par N. L. P. Paris, 181l ;, in-; 2, p. [12. — Journal militaire Je Hei1riIV, par M.°le comte on Vanom. Paris, 1821, in-8°, p. 322., _. [A MADAME LA COMTESÉE DE GRAMONT.`] ~ Jere n’a peu estre depesché a cause de ma maladie, ouje m’en vois dehors, Dieu mercy. Vous oirés parler bientost de moy, à d’aussy i bonnes enseignes que Niort. Si vous voulés dire.vray,' ceste dame-, qui estoitvenue, estoitbien fascheuse ; _je crois qu’elle'vous aibien importuné..le, ne puis gueres escrire._Certes, mon cœur, jlay veu . les cieulx ouverts ; mais je tray esté assez homme de bien pour y ' _e11trr.. Dieusesveult.servir de moy encore.- En deuxvfois vingts quatre heures, je lus reduictaestrei tourné avec les linceuls. Je vous f eusse faict pitié. Si ma crise eut demeuré deux heures à venir, les ' vers auroient faict grand chere de moyl. Sur ce poinct me vient V ’ Mornay, dans une lettre à.M. de Mor- maladie de son maître :. u Le, Boi de Na- À las, donne les détailssuivants sur cette varre s’ael1eminant _à.la Ganache, le g-de ' i `, Bâ. `