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LETTRES MISSIVES

. ü il p ANNE E I 589. . — [1589. l —— 1°" Janvier. l- I". Orig. autographe. — Biblioth. de l'Arsenal, Mss. Histoire, n° 179, t. I". Cop. - B. B. Suppl. fr. Ms. 2289-2, et Ms. 100941. Imprimé.- Mercure de France, année 1765, janvier, vol. II, p. 57. — L'Esprit de Henri IV. Paris, 1770, in-8°, p. 155. — Essai sur les mœurs, par Vomaxnm, addit. au chap. CLXXIV, lettre VI. - E Pie militaire et privée de Henri IV. Paris, au XII, in-8°, p. 102. — Lettres de Henri IK etc. publiées par N. L. P. Paris, 181à., in-12, p. 3g. -- Fastes de Henri IK Paris, 1815, in 8°, p. 356. — - Journal militaire de Henri IK par M. le comte DE VAt.01x1. Paris, 1 82 1, in-8°, p. 273. [A MADAME LA COMTESSE DE GRAMONT.] Ne vous manderay—je jamais que prinses de villes et forts? Anuit se. sont rendus à moy S* Maixent et Maillesaye, et espere, devant la lin de ce mois, quevous oirés parler de moyï Le Roy triomphe : il a _ Faict garotter en prison le cardinal de Guise ‘, puis monstrer sur la place, vingt—quatre heures, le president de Neuilly et le prevost des Il'13.[‘Cl]3I1dS, pendus 2, et le S( }gI’GlLElII`€ (IB fôll ITIOIISI df'. Guise 3, Bt trois aultres °. La lloyne mere 5 luy dict : « Mon iilz, octroyés-moy i <*Ll1]C I’CqlloSlÈ€‘ (IUC jû VOUS VGIIIX PÉIITG. — Selon (1118 CC S€I‘3., M3- « dame.—C’est que vous me donniés mons' de Nemoursô et le prince ‘ C`était le 23 décembre précédent que aucun de ceux qui furent arrêtés ne fut Henri Ill avait fait poignarder à Blois le _mis là mort. Péricard, secrétaire du duc duc de Guise. Le cardinal son frère fut de Guise, «racheta sa vie'et sa liberté, tuéle lendemain. La nouvelle de ce second dit Meieray, au prix des secrets de son meurtre n'était pas encore parvenue au maître. ». . roi de Navarre lorsquil écrivit cette lettre. Ces trois autres sont probablement 2 La C}1apelle—Marteau, prévôt des mar- les deux échevins de Paris, Cottcblanche chauds de Paris, était gendre d’Etienne et de Compans, et le lieutenant civil d'A de Neuilly, premier président de la cour miens, Vincentle Roy. des aides, tous deux grands ligueurs, et Pasquier, qui, étant lui-même de l’as- députés du tiers état àl'assemblée de Blois, semblée, se trouvait alors à Blois, raconte, où Marteau présidait le tiers-état. dans une lettre écrite de cette ville, le sur- ‘ Cette information n'était pas exacte : lendemain dela catastrophe, la manière