` DU ROI DE NÀVÀBHE. 359 dinal de Vendosme,;qu’il ne vous laisse chomer de rienqui soit ne- cessaire pour vostre—entretenement. `S’il y fait faulte, nous aurons querelle ensemble. CI’OyûZ doHCqllûS, _D'l& Nlûpûû, IDOD CO’I]$Gll plus qllû de nul 3.U.lllI`û, estant Cûllly VOUS Vûlllt à p'I’CS€I1i..S81`VlI‘ de PEPE. AdVûTtlSSûZ UlOy de Cû qU’&ll1`CZ })ûSOlHg, Bt IDC ilûI1( BZ PO11I' Vostre plus affectionne oncle et meilleur amy, _ _ HENRY. [1588. —— vEas LA rm ne mas. — III"". Cop.- Biblioth.- de Tours, ancien manuscrit des Carmes, coté M,. n° 50, Lettres historiques. p. 232. Communiqué par M. le préfet. A MADAMOYSELLE DE BOUILLON ‘. - Ma Cousine, J’ay esté tres ayse d'entend1îe de vos nouvelles par CC POITOU}`, COHIIHG Cêlllly les dûSl]î'û âllllttlllll DOIIHCS qllû Püfûlll. ou amy que vous ayez. Je pense vous l'avoir bien particulierement faict entendre par mes dernieres. Mais encores ne lairray-je passer ceste occasion, ayant bien voulu vous renvoyer ce dict porteur pour ' les particularitez qu’il vous fera entendre. Croyez, ma Cousine, que ` Charlotte de la Marek, duchesse de rier sans le consentement du roi de Na- Bouillon, princesse de Sedan, `iille de varre, du prince de Condé et du duc de Henri Robert de la Marek, duc de Bouil- Montpensier ; il institua le brave la None lon, et de Françoise de Bourhon Montpen- son exécuteur testamentaire, tuteur de sa sier, était née le 5 novembre 157ét, un sœur et gouverneur de ses terres souve— _ mois avant la mort de son père. En 1587 raines. Les compétiteurs à la succession elle perdit sa mère et son second frère, le de Bouillon ou à la main de Théritière i comte de la Marek. Le duc de_ Bouillon ; s'élevèrent aussitôt, avec des moyens plus son frère aîné, qui se trouvait un des chefs ou moins violents, pour soutenir leurs _ de Yarmée étrangère dont la déroute avait prétentions plus ou moins plausibles, fa— été si rapide, se rendit, après cette re- cilitées par Yéloignement de la None, qui traite, à Genève, ou il mourut, le 1°’ jan- ne put se rendre immédiatement à Sedan. vier 1588, d’une maladie aggravée par le Il sera question plus tard du mariage de chagrin. ll laissa ses états à sa sœur, âgée Yhéritière de Bouillon avec le vicomte de seulement de treize ans, ordonnant par Turenne. _ son testament qu’e1le ne pourrait se ma-
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