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_ DU KOI DE NAVARRE. 283 i _ principalement à regarder que nostre. maison soit unie, et d’oster tout ce qui pourroit y apporter division. J’envoye pour cest eflect le s' de la Roque par delà, pour leur faire entendre amplement le _ desplaisir que je recevrois si le mal passoit plus avant. Je luy ay commandé aussy de vous Voir de ma part. Je vous prie, ma Tante, y ' appliquer tous les remedes que pourrez, et m’ayder à ce que nous q puissions accommoder toutes choses. Vous Sçavez quel subject ce se- roit en ce temps aux ennemis Cle nostre maison, au lieu de demes- ler la querelle generale, d’en susciter de particulieres entre nous. Je. ne vous en diray davantaige, remettant le reste sur le dict s' de la Roque, si ce n’est pour vous asseurer de plus en plus de mon amitié, qui sera tousjours aussi ferme et constante que je suis Vostre bien affectionne nepveu et plus asseuré amy à vous servir?, ' ' HENRY. . [1587.-10 Avm1.‘.] _ Origmutographe. — Collection de M. F. Feuillet de Conches. I ' A MONS" DE SAINCT GENYÉS. Mons' de Sainct Genyés, J’ay veu ce que vous m’avés escript de celuy qui a receu la patente : dont j’ay esté bien ayse. Je vous envoye deux lettres que vous ferés remplir ainsy que vous verres estre plus enfants. princesse douairière de Condé subject, à M. le comte de Soissons. » Puis il était donc la belle-mère du prince de Conti donne celle qui fut aussi écrite à la prin- et du cardinal de Vendôme, frères consan- cesse de Conti,, et dont les termes diffèrent guins de son fils, le comte de Soissons.Elle très-peu de ceux qui sont employes dans _ mourut le 1 1 juin 1601. la lettre àpla princesse de Condé, sa belle- ' Le manuscrit de Toursajoute a la mère. _ suite de cette lettre :`« Une autre, sur ce _ ‘ Auqdos de cette lettre est écrit, de la -` M. de Saint-Geniés : _« Le Roi. Du 10 avril J- même main dont sont les dates de récep- 1587. Sur le baron et l’Anglois et l’Espa tion dans toute cette correspondance avec gnol. s ‘ 36. '