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DU ROI DE NAVÃBBE. 273 - duict la où _j'en suis par la necessite, ainsy que le dit s' de Pontcarré ' vous pourra dire : lequel je vous prye croire, et aimer tousjours . Vostre lus afïectionné et lus asseuré am, ‘ P. PA Y uENa¥._ [1587.]-- 12 mns. _ P. (Irig. autographe. —Bibliothèque’de l’Arsenal, Mssi Histoire, n° 179, t. I". Cop. — B. Suppl, fr. Ms. 2289-2, et Ms. IOOO-ti, ` Imprimé ; -- Journal militaire de Henri IV, par le comte D¤'VALo1u.' Paris, 1_821, in-8°, page 292. ', ~ [A MADÀME LA COMTESSE DE GRAMONT.] I, Plus je voys en avant, et plus il semble que vous taschiés à me . faire aroistre combien eu 'e suis non seulement en vostre bonne P. P J,. grace, mais encores en vostre memoire. Par ce laquais vous avés — escript à vostre fils et non à moy.` Si je ne m'en suis rendu digne, _j’y ‘ ay faict toutce que j’ay peu. Les ennemis ont prins l'isle de Marans ' devant mon`—arrivee ; de façon que je n’ay peu secourir le cliasteau, ce que j'y amenois de Gascogne n’estant ; arrivé. Vous oirrés dire bientost que je l’auray reprins, s’il plaist à_ Dieu. Croyés que vous n’aurés jamais un plus fidele serviteur que vostre esclave, qui vous baise un million de fois les mains. Ce 12m° mars. . [1587.] -+ sql ; mas. i Ã, Cop. — B. B. Fonds Leydet, Mém. mssusur GeoB’roy de Vivans, p. yg. _ V [A MONS“ DE VIYANS.] Mons' de Vivans, I'ay receu la lettre que vous m’avez escriptc, qui m’a donné beaucoup de contentement, y reconnoissant de vrayes marques de vostre sincere affection à mon service, de laquelle je n’ay encores jamais doubté. Il est certain que la prise de la fille de ma- dame de Caumont et les asseurances, pour la faire approuver du Roy, imrrnus ou mmm tv.--11. 55