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i DU RO] DE NAVARREJ. J 189 gratilier en ce qui se rencontrera, je vous prie de recouvrer, au plus _ tost que vous pourrez, la partie de la dame de Marueil sur les habitans de Villemur l, pour la luy faire tomber entre mains ; et faictes-la comme de vostre propre faict, et la gardés à ce que, aussi tost que je seray ' de retour ar delà, la-dicte somme lu uisse estre deslivrée. Ce ue P J7 P Cl 111`assurant que vous ferez, aprés la recommandation que je vous en fais 'e ne vous en dira 'davanta e, si ce n’est our tousours vous as- •J. J 8 P J, seurer de ma bonne volonté, et prier Dieu vour tenir, Mons' d’Escor— biac en sa saincte et di ne arde.'De la Cazals', ce 1 ° febvrier 1586. 8 8 J ' Vostre meilleur et plus alïectionné amy, `, J HENRY. ` [1586. — visas LA MI— FÉVP IEB 1. ] — I". Cop.—B. B. Suppl. fr. Ms. 1009-3. I mprîmé. — Mémoires de mcssirc Philippes de Mornay. etc. t. l, p. 613; édit. de 1 62l1, in-li". [A MONSIEUR LE DUC CASlMIB.] i " Monsieur mon Cousin, je ne vous puis dire l’extresme contente- ment que j'ay receu de la venue du sieur de Montmartin. Je vous prie de l’entendre de sa bouche. Tant y a que je recognois que je vous ay une infinie obligation de vostre affection, qui m’est tesmoi— née ar tels effects ; et vous `ure ue 'e ne Toubliera `amais. Vous 8 P J CI J. J J pourrés dire à ce coup, que vous aurés grandement aidé arelever et remettre sus, humainement, etnos alliaires et nos Eglises. Et jlespere, _ ‘ avec l’aide de Dieu, que ce sera de telle sorte, qu’il n’en fauldra plus donner de-peine à nos amis. Le dict sieur de Montmartin vous dira comme nous sommes par deçà. Jamais je ne sentis 'tant la‘ benedic— l Villemur-sur—Tar11, chelïlieu de canton du département dela Haute-Garonne. ' Du Plessis-Mornay, dans ses Mé~ 1 1 février, l’autre du 18; et il a mis en moîres, a placé cette lettre de son maître marge de celle~èi z « Faite par M. du Ples- _ entre deux lettres de lui-même, Tune du sis. »