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i DU PtOI_ DE NAVARRE. 187 ferez aussy promptement comme je desire et la necessite presse, je ne vous en diray davantage, si ce nest pour vous prier vous asseurer de plus en plus de mon amitié, et d’aimer tousjours de vostre part ` Vostre plus allectionné maistre et parfaict amy, _' ‘. _, HENRY. 1 Je vous prye, Mons' de Sainct Genyés, faire fournir la pouldre entierement, et croire le dict s’ de la Barre de ce qu’il vous dira de ma part, comme ' Vostre. etc. `, [1586. -vEas LA rm DE JANVIER.] ——I"“. 0 — C C Bm C C C l)3I‘0Il &StoI] 8 otte, à M8PS8l C'. Cp Arhd(`illdMl G (IFI Il _. i [A MONS“ ST GENIEZ.] i Mons" de Sainct.Geniez, J’ay receu deux lettres de vous. Perla premiere vous cuidiés que ces compagnies de gens d’armes vinssent expres pour prendre guarnison prés mon pays ; asteure je crois que vous estes esclaircy comme ils ne songent à rien moins. Quant à ce que me mandez pour les pouldres, de vous advertir un mois de- vant, soyez tousjours adverty que, des qu’il y en aura un millier de faicte, je vous l’envoyerai querir, en me le mandant. Si on revient, aic es u me re amain sur eco e, ces un mec an arnimen. ftly ul ll1t’t htg 1; Je vous prie, tancez nostre grande- amye de la facon dont elle vit avec moy ; elle a certes grand tort. Mandez-moi,...... (celle du Pales vous dira ce que c’est). Si Basas est prinse, voila les desseingsde nos ennemis changez ; Ils sont foibles et malades, et encores bien loin. A Dieu. `. ` Vostre trez aiïectionné et parfaict amy, _ _ HENRY. ? _ Le roi, en ajoutant cette recomman- manière que la formule finale pût servir dation de sa propre main, l’a disposée de pour la lettre et pour le postcrîptum. — al ;.