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` — DU ROI DE NÀVÀBBE. l85 DB Ulëll. 1. EIYlPlOy€Z-VOUS '[OLIS l.I’OlS2 (lillïl COI'I’lI’I`1l1Il advis (Eli C Ol’lS€l'1 - `lZ€Il'l€IllÈ, POUT 1’3.dV3.DCBIHBl'1`là dB HOZ 3H’EllI’CS, et Sl1I’lOlllà POUT f3lI`€ promptement acheminer l’armée..l’ay faict entendre mon intention au s" de Montmartin“; _ie’vous prie le croire et vous assurer, de plus en plus, de l'amitié de` A _ i I Vostre trez atïectionné maistre et parfaict amy ; ` ’ HENRY. [ 1586. —e vnns LE 2 5 JANv1E1..] i Cop. — Arch. de famille de M. le baron Gaston de Flotte, à Marseille. I ` i [A MONS“ DE ST GENYÉS.] I Mons' de Sainct Genyés, Parce que Yarmée des ennemys s’approcl1e et est à present autour de Ponsl, de sorte qu’il est necessaire de pour- veoir aux places qui sont sur la riviere de Garonne, lesquelles sont menacées de siege, ainsi qu’il nfest apparu par lettres que _i’ay en ' Cette assertion, toute semblable à tarda d’au moins trois semaines, si la lettre celle de la lettre précédentefindique sui`- que ce gentilhomme fut chargé de porter iisamment la date de celle cî. au prince Casimir a été bien placée dans ’ Les deux autresétaient MM. de Cler- les Mémoires de Mornay, entre le 1 1 et vant et de Quitry. le 18 février suivant. ” Le départde M. de Montmartin se re- ` 1 Du Plessis Mornay écrivait, le 1 5 dé- petit récit de sa campagne, qu’il lit publier E cembre précédent, à la duchesse d'Uzès : vers la lin de l'année 1586, il est dit : « Es- ¤Nous sommes attendant monsieur de tant joint avec M. le mareschal de Mati- Mayenne. Son armée sévapore en me- gnou, qui avoitla charge de l'avant—garde, naces`, etles effets en seront tant moindres. et qui menoit une grande partie des forces Croiés, Madame, qu’il nous tarde de les dont l’armée estoit composée, il delibera chacer et que ce sainct est taillé de ne faire d’assieger Pons, ` à quoi il ne put jamaisle pas grands miracles en Guienne. ¤ L’his faire condescendre. » (Petit discours sur le toire prouve que le duc de Mayenne justi- voyage de M.` de Mayenne en Guienne.) fia cette prédiction. La première entreprise Peu de temps après, le maréchal se sé qu'il essaya d’exécuter avec le maréchal de para du duc, et allaassiéger, en février, la Matignon fut le siège de Bona Dans un ville de Castets. Lsrraes ne nrzsai xv. — 11. ali