fiques Seigneurs, de croire le dict sr [de Buzenval] de tout ce qu’il vous dira de ma part et de me tenir au nombre d’un de voz plus affectionnez amys, qui desire par toute occasion de vous en donner de trez bonnes et trez certaines preuves. ................
Orig. autographe. — B. R. Fonds des cinq cents de Colbert, M. 401.
Monsr de Segur, Je loue Dieu de ce qu’il donne sy bon commencement à vostre negociation et benit vos labeurs. J’ay tousiours esperé cela de vostre zele à l’advancement de la gloire de Dieu, et de vostre affection si entiere à mon service. Je vous prie continuer et y apporter tout ce que vous pourrez, car il est temps de mettre la main à la besoigne, et de n’oublier rien au logis, puisque nostre innocence mesme et obeissance nous nuict. Nostre cause est si juste que je m’asseure que Dieu la favorisera et que les princes chrestiens et tous les gens de bien nous aideront à la soustenir, non-seulement pour l’interest qu’ils y ont, mais principalement parce que c’est la cause de Dieu plustost que la nostre.
À Dieu, aimez toujours
