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[1583. — vers le 30 octobre.]

Orig. autographe. — Biblioth. impér. de Saint-Pétersbourg, Ms. 887, tom. Ier, lettre n° 3. Copie transmise par M. Houat.


[À MONSR DE BELLIEVBE.]

Monsr de Bellievre, Ayant entendu par du Pin que vous estiez arrivé à St Justin[1], j’ay bien voulu vous envoyer incontinent ce porteur pour vous prier de vous avancer et venir coucher icy aujourd’huy, où vous estes attendu de

Vostre bien affectionné et asseuré amy,


HENRY.



[1583. — vers le fin d’octobre.] — Ire.

Orig. — Arch. des Affaires étrangères, Corresp. politique, Mss. France, n° XIX, fol. 50 recto.


À MONSR DE ST GENIÉS.

Monsr de St Geniés, Je vous prie envoyer au plus tost deux quintaulx de pouldre à mon chasteau de Tartas[2], et escripvés au sr de Vignoles[3] afin qu’il les reçoive et s’en charge. Je vous recommande les estats. C’est

Vostre plus affectionné maistre et asseuré amy,


HENRY.
  1. Près de Roquefort-de-Marsan, aujourd’hui dans le département des Landes.
  2. Voyez ci-après la lettre du 17 décembre, de laquelle résulte que les mesures de défense ordonnées à Tartas furent antérieures à la prise du Mont-de-Marsan, qui est du 22 novembre.
  3. Benjamin de Vignolles, seigneur de Vignolles, Tannières, etc. fils de Paris, seigneur de Vignolles, et de Jacqueline de Constant, était chevalier de l’ordre du Roi et maître d’hôtel du comte de Soissons.