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roistre combien cela m’est agreable, vous priant aussy d’y aporter tout ce que jugerez estre plus propre pour faciliter cest affaire. De ma part je ne obmettray aulcune chose qui soit en mon debvoir et puissance. En ceste saincte intencion je vous baiseray humblement les mains, et prieray Dieu,

Monsieur, augmenter et accroistre vostre grandeur en tel heur et felicité que vous desirés.

De Pau, le iije jour de septembre 1582.

Vostre plus affectionné cousin et parfaict amy, à vous obeir et servir,


HENRY.


Monsieur, si vous m’aimés, je vous prie vous employer pour la deslivrance des srs de la Noue et de Turenne, desquels je desire la liberté comme de mes propres freres.