cet ouvrage. Il n’y en a qu’un que je puisse lui comparer, c’est le quatrieme tome de Joseph Privat de Molieres, où il donne de son crû une preuve de l’existence de Dieu, propre à faire plus d’athées que tous les livres de Spinosa. Je vous dis cela en confidence. On me parle avec éloge des détails d’une comédie de Boissy ; je n’en croirai rien de bon que quand vous en serez content. Le janséniste Rollin continue-t-il toujours à mettre en d’autres mots ce que tant d’autres ont écrit avant lui ? et son parti préconise-t-il toujours comme un grand homme ce prolixe et inutile compilateur ? A-t-on imprimé, ou vend-on enfin l’ouvrage de l’abbé de Gamaches. Il y aura sans doute un petit systême de sa façon ; car il faut des romans aux Français, Adieu, charmant fils d’Apollon ; nous vous ai-
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