Page:Helvétius - Œuvres complètes d’Helvétius, tome 13.djvu/190

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

moi toujours, mon cher ami, au nombre des choses que vous aimez ; et, dans votre immensité, n’oubliez point Cirey, qui ne vous oubliera jamais. Est-il possible que vous daigniez aller chez S.-Hyacinthe ! vous profanez vos bontés. Je ne sais comment vous remercier.

A Cirey, ce 14 mars.

LETTRE XV.

En bien ! nous n’entendrons donc parler de vous ni en vers ni en prose ? Je me flatte que mon cher Apollon naissant me paiera de son silence avec usure. Apparemment que vous préludez à présent, en que bientôt nous aurons la piece ; cependant, mon cher ami, je vous prie de me mander si vous avez reçu le brouillon