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Si je savois où loge votre aimable Montmirel, si j’avois achevé Mahomet, je me confierois à lui in nomine tuo ; mais je ne suis pas encore prêt ; et je pourrai bien vous envoyer de Bruxelles mon Alcoran.
Adieu, mon cher ami. Envoyez-moi donc de ces vers dont un seul dit tant de choses. Faites ma cour, je vous en prie, à M. de Buffon ; il me plaît tant, que je voudrois bien lui plaire. Adieu ; je suis à vous pour le reste de ma vie.
3 novembre, à Paris.