cet art d’écrire que Despréaux a si bien connu et si bien enseigné, ce respect pour la langue, cette liaison, cette suite d’idées, cet air aisé avec lequel il conduit son lecteur, ce naturel qui est le fruit de l’art, et cette apparence de facilité qu’on ne doit qu’au travail. Un mot mis hors de sa place gâte la plus belle pensée. Les idées de Boileau, je l’avoue encore, ne sont jamais grandes, mais elles ne sont jamais défigurées. Enfin, pour être au dessus de lui, il faut commencer par écrire aussi nettement, aussi correctement que lui.
Votre danse haute ne doit pas se permettre un faux pas : il n’en fait point dans ses petits menuets. Vous êtes brillant de pierreries ; son habit est simple, mais bien fait ; il faut que vos diamants soient bien mis en ordre, sans quoi vous auriez un air gêné avec