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SECTION VIII, CHAP. XIII.

force plus ou moins grande qu’on distingue le beau du sublime.





CHAPITRE XIV.

Du sublime.

Le seul moyen de se former une idée du mot sublime, c’est de se rappeler les morceaux cités comme tels par les Longin, les Despréaux, et la plupart des rhéteurs. Ce qu’il y a de commun dans l’impression qu’excitent en nous ces morceaux divers est ce qui constitue le sublime. Pour en mieux connoître la nature, je distinguerai deux sortes de sublime, l’un d’image, l’autre de sentiment.

    especes de sensations ? Peut-être dans l’état d’homme de lettres ou d’artiste. Peut-être est-ce dans les atteliers des arts qu’il faut chercher les heureux.