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Quand l’amour des ténèbres se mêle, comme chez Hoffmann, à la curiosité du monde invisible, la folie et le désespoir se jettent sur l’homme comme sur une proie à eux dévolue. Hoffmann offre sur les hauts lieux un téméraire encens à un dieu inconnu qui est le dieu des ténèbres. Ô sagesse éternelle, qui savez que chacun de nous porte en lui un enfant, un malade, un ignorant et un coupable, dirigez, pacifiez, purifiez, éclairez, illuminez les désirs qui nous élèvent vers vous, afin que la route soit aussi droite et aussi sûre que le terme est sublime !