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que j’appellerai la Grande Physique, ou Grande Philosophie de la nature, pour la distinguer de la petite, telle qu’elle se trouve dans l’édition de l’Encyclopédie de Rosenkranz, qui ne contient que l’énoncé et la définition essentielle, mais sommaire de l’idée. Je ferai observer, en dernier lieu, que les Zusatze je les ai tantôt fondus textuellement dans les notes, tantôt, et le plus souvent, je les ai ajoutés au texte, en les plaçant immédiatement après l’énoncé sommaire de l’idée. Cet arrangement m’a été imposé par la nature même de ces appendices. Car, toutes les fois qu’ils n’avaient pas besoin d’être élucidés et commentés, ils rentraient naturellement dans le commentaire. Mais, comme le plus souvent ils ont eux-mêmes besoin d’être élucidés, j’ai dû y ajouter un commentaire, et, par suite, les placer dans le corps du texte.

Du reste, les indications dont ils sont accompagnés sont si claires et si précises, que le lecteur n’éprouvera pas la moindre difficulté à distinguer ce qui appartient, soit à l’énoncé direct et essentiel de l’idée, soit à l’appendice, soit au commentaire.

Qu’il me soit permis d’exprimer l’espoir que, quelque incomplet que puisse être ce travail, les amis de la science et de la philosophie me sauront gré des efforts que j’ai dû faire pour vaincre les grandes et nombreuses difficultés qu’il présentait.


Naples, 1er juin 1863